Des services secrets, nous ne savons que les échecs et rarement les succès. Si l'échec provoque l'anathème, l'ingratitude est fille de la victoire. Quand à la gloire, il faut l'oublier, elle est pour les autres...

dimanche 16 mars 2014

MH370 : des infos tenues secrètes ?




Il y avait vingt employés du groupe Freescale à bord du Boeing 777 de la Malaysia Airlines. Ils étaient en route pour une réunion d’affaire à Pékin. C’est le PDG du groupe, Greg Loewe, qui l’a annoncé dans un communiqué précisant que douze d’entre eux étaient  de nationalité malaisienne, huit de nationalité chinoise.

Freescale Semiconductor est une firme basée à Austin (USA). Elle dispose d'une équipe de spécialistes dédiée à l'appui aux forces de défense américaines.

 Les produits commerciaux de Freescale couvrent divers secteurs :
     -Les Communications sur le champ de bataille
     -L'avionique
     -Les bandes radar HF par L et  S
     -Le guidage des missiles
     -La guerre électronique
     -L'identification, ami ou ennemi (IFF )

Personne n’en parle dans les média mainstream. Est-on là au cœur des raisons de cette disparition ? il paraît évident que ce sont des ingénieurs de haut niveau.

Les chroniques de Rorschach approfondissent ainsi le sujet : 

1) A l’aide de l’armement électronique d’aujourd’hui, un avion peut sembler disparaître.

2) Les vingt passagers de Freesacle sont liés à des contractants US de la Défense dans le domaine de l’armement électronique high tech.

Les capacités de la guerre électronique comprennent des armes qui permettent de cacher des avions. Cet armement électronique est non seulement disponible, il est d’ores et déjà en cours de déploiement. A-t-il été utilisé pour masquer ou camoufler l’avion disparu ? »

Mais voyons ce que sont ces nouvelles techniques : « De nouvelles armes électroniques permettent le brouillage , l'aveuglement , l'assourdissement et plus encore, de sorte qu'un avion pourrait disparaître des radars de détection tandis que les systèmes de sécurité ne seraient pas activés . Au niveau du radar les stratégies de contre-mesures électroniques basiques utilisées dans la guerre électronique sont :
 1 ) les interférences radar
 2 ) la modification des cibles
 3 ) la modification des propriétés électriques de l'air .

Un rapport d'évaluation du renseignement américain a conclu qu'une attaque israélienne contre l'Iran irait bien au-delà des frappes aériennes avec des avions de combat et verrait probablement le déploiement d'armes électroniques contre le réseau électrique, l'Internet, les réseaux de téléphonie mobile ainsi que les fréquences d'urgence utilisées par les premiers secours en Iran.

Israël a développé une arme capable d'imiter un signal de maintenance qui commande au réseau des portables de " se mettre en veille " stoppant ainsi efficacement les transmissions.

En 2007, l'armée syrienne a obtenu un avant-goût de cette guerre quand  les radars de défense aérienne du pays ont étés leurrés par les forces Israéliennes. Dans un premier temps, elles ont fait en sorte qu'ils ne montrent aucun avion dans le ciel puis l'instant d'après, elles ont fait en sorte que les radars montrent des centaines d'avions.

L'année dernière, il a été annoncé que la nouvelle technologie de la furtivité des avions les rend invisible non seulement au radar mais également à l'œil humain à la manière d'une cape d'invisibilité.

A-t-on à faire à un détournement fait pour éliminer ou capturer ces cerveaux ?

Le Nouvel Obs, a révélé ceci :

Deux sources proches de l'enquête ont indiqué à Reuters que des données radar suggèrent que le vol MH370, qui a disparu samedi sans laisser de traces, a été délibérément orienté vers les îles Andaman,.

Un avion non identifié qui pourrait être le Boeing 777 en question suivait un cap défini par des "waypoints", ce qui suppose que quelqu'un ayant des compétences en matière de pilotage se trouvait aux commandes lorsqu'il a été repéré pour la dernière fois par des radars militaires au large de la côte nord-ouest de la Malaisie, dit-on de mêmes sources.

Tout ceci n’est-il pas su depuis longtemps par les différents gouvernements. ?

Pourquoi perdre du temps à chercher des débris qui n’existent pas ?

Y-a-t-il des négociations secrètes ?

Que sont devenus les autres passagers ?

Qui est à la manœuvre ?

Est-ce une manière, après l’attentat de la gare de Kunming qui avait fait 30 morts et 133 blessés, de dire à la Chine de se tenir à l’écart du conflit US-Russie ?

Interrogeons-nous puisqu’on a demandé aux internautes de chercher des débris sur la mer.

Mais pas que sur la mer…Sur le grand flot d’internet, bien des indices aussi posent question.

L'avion a atterri et est dissimulé ? 

L'absence de débris ou d'indices signalant un impact, ainsi que les sept heures de vol après la disparition des écrans radars civils font espérer que l'avion a atterri et serait dissimulé dans un endroit reculé.

L'avis d'expert : la taille d'un Boeing 777 et la surface nécessaire pour qu'il atterrisse rendent peu probable ce scénario, indique Greg Waldron, de la revue spécialisée Flightglobal. Mais Paul Yap, de Temasek Polytechnic, juge que si la personne aux manettes de l'appareil était suffisamment douée pour échapper aux radars, "elle avait alors certainement la capacité d'atterrir quelque part".

La lenteur des autorités malaisiennes à révéler des données clés sur les contacts satellite et radar pousse certains à penser que les pays de la zone connaissaient le trajet suivi par l'avion, mais ne voulaient rien dire, par peur de dévoiler trop d'éléments sur leur sécurité et leur défense.

L'avis d'expert : au regard des indications fournies samedi par la Malaisie sur les routes qu'a pu emprunter le vol MH370, Gerry Soejatman se demande comment un avion aurait pu traverser cette zone sans être détecté. "S'il a volé dans le couloir du nord, il a traversé plusieurs pays. Pourquoi personne n'a rien détecté, ou du moins rien signalé ?"

634 pistes sur lesquelles le vol MH370 a pu atterrir



Les journalistes de la radio américaine WNYC ont établi une liste des aéroports et des pistes d’atterrissages susceptibles d'avoir pu être utilisées par un pilote aux commandes du Boeing 777.

Puisant dans la base de données X-Plane, ils ont recoupé les coordonnées des pistes recensées avec les données suivantes : une longueur d'au moins 5000 pieds (1524 mètres, ce qui correspond, selon un pilote interrogé par Slate, à la distance minimale pour faire atterrir un Boeing 777) et un rayon de 2 200 miles - 3340 kilomètres - autour de la dernière position connue de l'appareil (soit une distance correspondant à 5 heure de vol, selon les sources citées par le Wall Street Journal).

Ce qui donne 634 possibilités, entre l'Inde, le Japon et l'Australie 

Egger Ph.