Pourquoi le vol MH370 n’a soit disant pas été détecté par la base militaire de Diego Garcia dans l’océan Indien ?
Pourquoi le vol MH370 n'a soit disant pas été intercepté par la chasse malaisienne, thaïlandaise, vietnamienne, américaine, sri lankaise, australienne ?
On nous confirme que l’avion a volé durant 7 heures avant que tout contact soit interrompu !!!
• Entre Diego Garcia et la Malaisie, il y a 4000 km
• 7 h de vol à 650 km/h = 4.500 km !!
• Un satellite thaïlandais découvre, 3 semaines plus tard, 300 objets de 2 à 15 mètres, flottant dans le sud de l’océan Indien”, à 2.700 kilomètres de la capitale de l’Etat d’Australie-Occidentale
Le pilote expérimenté a délibérément détourné l’avion de son trajet et l’a amené en direction de l’Ouest au lieu du Nord comme il était prévu.
L’armée de l’air thaïlandaise a vérifié les informations de ses radars et ces derniers avaient repéré un“appareil non identifié” changeant plusieurs fois de direction:
• une panne des appareils mais alors aucun appel,
• aucun SOS ?? et ce pendant 7 heures de vol ??
• aucun appel de téléphone portable ou cellulaire à proximité des côtes…
• une manœuvre pour tromper la surveillance au sol
L’île de Diego Garcia comme objectif terroriste est une hypothèse sérieuse
Diego Garcia est une grosse base américaine qui abrite un aéroport pour les bombardiers stratégiques B1 et B52, avec des bombes thermonucléaires, ainsi que des installations Top Secrètes (voir détail plus bas).
• le détournement aurait été plus laborieux que prévu ce qui expliquerait sa position au Nord-Ouest de l’Australie
• le détournement a mal tourné avec la destruction de l’avion
• la destruction de l’avion par la Défense Américaines, missiles air/air, sol/air, mer/air…
Pourquoi ne pas crasher l’avion plus rapidement ? Pourquoi voler 7 h en plein océan,
je veux me suicider ? je rate mon décollage et je me crashe en bout de piste !
Les Américains ont sans doute suivi son trajet et auraient compris dès le début, le détournement de l’avion, puis sa cible sur Diego Garcia.
On peut imaginer que les Américains ont tenté de convaincre le pilote à changer de trajet mais en vain.
Il est sans doute difficile pour les Américains de reconnaître ouvertement d'avoir abattu un avion civil détourné (comme le 93 United Airlines, le 11 septembre 2001) pour protéger la base de Diego Garcia, même si les passagers à bord étaient de toute façon condamnés à mourir.
Un délai de plusieurs semaines pour "retrouver" l'avion, incompréhensible mais qui s’explique :
• pour récupérer et/ou déplacer les débris de l’avion,
• on garde les morceaux compromettants (brûlés, impactés, percés…)
• on déplace les autres débris de l’avion,
• on récupère les boîtes noires, on donne une version tout public aux médias,
• on évalue l’étendue de l’infiltration d’al Qaeda dans le staff des pilotes et des techniciens des compagnies aériennes,
• on transforme l’acte terroriste en erreur de navigation, une panne banale et l’avion à bout de carburant se serait abîmé dans l’océan indien et on se dispense de critique.
Y-a-t'il eu revendication et l'information est restée "Secret Défense" pour ne pas alerter l’opinion publique sur un éventuel attentat ?
Coordonnées
Diego Garcia est un atoll de l'archipel des Chagos, dans le territoire britannique de l'océan Indien, un territoire britannique d'outre-mer. L'île principale de l'atoll, appelée elle aussi Diego Garcia, accueille une base militaire britannique louée à l'armée américaine. Les installations comprennent un aéroport, des hangars, des locaux techniques, des habitations et autres infrastructures civiles ainsi qu'un port en eaux profondes aménagé dans le lagon.
Diego Garcia est situé dans le centre de l'océan Indien, dans le sud-est de l'archipel des Chagos dont il constitue les terres émergées les plus méridionales. Les autres atolls de l'archipel des Chagos les plus proches de Diego Garcia sont le banc Cauvin et le banc Great Chagos à une cinquantaine de kilomètres au nord ainsi que le banc Wight et le banc Pitt à environ 90 kilomètres à l'ouest. Les terres émergées les plus proches sont constituées des îles Egmont situées à 122 kilomètres en direction du nord-ouest.
Diego Garcia était découvert en 1512 par le navigateur portugais Pedro de Mascarenhas, d'abord comme Dom Garcia, en l'honneur de son patron, Dom Garcia de Noronha. Au début de cette année, il naviguait dans une flotte sous l'égide de Noronha, qui allait plus tard passer à la troisième vice-roi de l'Inde (1538-1542). En 1544 l'atoll était redécouverte par l'espagnol Diego Garcia de Moguer pendant une expédition portugaise qu'il a mené. L'ajout au nom de l'île "Diego" peut aussi avoir été faite par les britanniques quand ils ont copié les cartes portugaises. En outre, une corruption de la déclaration Deo Gracias ("Dieu merci") est admissible à l'attribution de l'atoll. Les détails de la découverte ainsi que la véritable origine du nom n'ont pas encore été documenté.
L'atoll est alors inhabité et le reste jusqu'au XVIIIe siècle. Les Français qui colonisent l'archipel des Chagos amènent des Africains sur Diego Garcia pour les employer dans les cocoteraies afin d'en tirer du coprah et de l'huile de coco. Au lendemain des guerres napoléoniennes, Diego Garcia passe aux mains des Britanniques dans le cadre du traité de Paris en 1814. L'atoll sert de point de ravitaillement en charbon pour les navires britanniques naviguant entre l'Europe et l'Australie à partir de l'ouverture du canal de Suez en 1869.
En 1965, Diego Garcia, de même que le reste de l'archipel des Chagos et quelques îles seychelloises, est intégré au territoire britannique de l'océan Indien nouvellement formé par le regroupement d'îles jusqu'alors dépendantes des colonies britanniques de Maurice et des Seychelles. Cette création se fait avec l'accord de Maurice dans le cadre de sa future indépendance qui surviendra le 12 mars 1968. Néanmoins, Maurice change son point de vue et réclame depuis cette date la souveraineté de l'archipel des Chagos.
En 1971, les Chagossiens de Diego Garcia sont déportés par les autorités américaines vers les Seychelles et Maurice dans le cadre du développement des activités militaires dans l'atoll. Depuis, Diego Garcia ne compte plus de population indigène. Certains des anciens habitants de l'atoll y sont toutefois revenus en tant que visiteurs en avril 2006 mais sans possibilité d'y retourner y vivre. Les Chagossiens continuent de réclamer un droit au retour sur Diego Garcia et malgré plusieurs décisions favorables des cours britanniques, le gouvernement du Royaume-Uni utilise des pouvoirs spéciaux pour empêcher leur retour.
Diego Garcia occupe une position stratégique dans le centre de l'océan Indien remarquée dès le XIXe siècle par le Royaume-Uni et dans les années 1950 par les États-Unis. En effet, l'atoll est situé à 2 000 kilomètres de l'Inde, à 3 500 kilomètres des côtes orientales de l'Afrique et de l'Indonésie, à 4 500 kilomètres du golfe Persique et à 5 000 kilomètres des côtes occidentales de l'Australie. Il est situé au croisement des routes maritimes reliant l'Extrême-Orient à l'Europe aussi bien via le canal de Suez que par le cap de Bonne-Espérance et les pétroliers sortant du golfe Persique croisent au large de Diego Garcia quelle que soit leur destination et notamment en direction de l'Asie.
L'apparition de la Guerre froide et l'accroissement de la présence soviétique dans des pays riverains de l'océan Indien conduisent les États-Unis à rechercher une base d'opérations, notamment avec la perte de l'allié iranien. L'installation de structures militaires sur Diego Garcia est accordée par les Britanniques aux Américains pour cinquante ans suite à des discussions conclues en 1966. Ce bail a été renouvelé pour une durée de vingt ans ce qui porte son expiration à 2016. La construction de la base militaire débute en janvier 1971 lorsque des Seabees, une unité de génie militaire de l'armée des États-Unis, sont débarqués sur Diego Garcia. Elle sera opérationnelle en 1986
Lorsque la Guerre froide cesse, la base militaire de Diego Garcia trouve de nouveaux objectifs militaires et stratégiques avec la guerre du Golfe en 1991, les opérations contre les Talibans en Afghanistan depuis 2001 et la guerre d'Irak en 2003. L'île accueille en effet une base aérienne pouvant accueillir des bombardiers furtifs Northrop B-2 Spirit pour des escales techniques grâce à des hangars démontables pressurisés. Avec la montée du terrorisme islamiste, les États-Unis souhaitent renforcer leurs moyens d'action à Diego Garcia. Dans cette optique, l'United States Navy déclare en décembre 2009 vouloir installer un port flottant qui pourrait accueillir jusqu'à quatre sous-marins nucléaires lanceurs de missiles de croisière.
Cette installation reste modeste par rapport aux autres bases navales américaines avec, en 2011, moins de 300 militaires et cinq navires de soutien déployés en permanence.
Le 26 décembre 2004, la partie centrale de l'océan Indien est parcourue par un tsunami parti des côtes indonésiennes en raison du tremblement de terre survenu à Sumatra. Néanmoins, Diego Garcia n'est pas touché par les vagues contrairement aux Maldives situées plus au nord. La fosse des Chagos située à l'est en direction de la source des vagues et profonde de 5 000 mètres aurait absorbé une partie de l'énergie du tsunami qui s'est mué en une marée de deux mètres de hauteur qui a contourné l'atoll au lieu de concentrer son énergie sur lui.
Air Force One à Diego Garcia
Malgré la présence américaine, la loi applicable sur Diego Garcia est celle du Royaume-Uni, l'île faisant partie du territoire britannique de l'océan Indien. Le commissionnaire et l'administrateur de ce territoire résident au Royaume-Uni mais sont représentés sur Diego Garcia par un officier.
U2 à Diego Garcia
La seule raison d'être d'une présence humaine dans l'atoll étant constitué par la base militaire, celle-ci fournit certains services à l'administration du territoire britannique de l'océan Indien telle que la production d'électricité, les communications téléphoniques, la connexion à internet, etc. De plus, la livre sterling est officiellement en usage mais le dollar américain est aussi en circulation. Les services britanniques ont néanmoins en charge la radiodiffusion, la gestion du domaine internet .io, la télévision avec une chaîne interne à l'atoll et la sécurité assurée par les Royal Overseas Police Officers.
Les objectifs militaires de la base américaine de Diego Garcia sont d'apporter un soutien logistique aux opérations militaires des pays du pourtour de l'océan Indien où les États-Unis sont engagés. Dans cette région du monde qui inclut aussi le Proche et le Moyen-Orient, Diego Garcia constitue ainsi le « fer de lance » de l'armée américaine. Occasionnellement, une flotte de bombardiers dont des B-2 est basée sur Diego Garcia qui est utilisée comme base de départ de raids de bombardement durant la guerre du Golfe de 1991, la guerre d'Afghanistan de 2001 et la guerre d'Irak de 2003.
Une des stations GEODSS de surveillance des objets artificiels en orbite est ouverte en 1987.
Une station du réseau Echelon est basée sur l'atoll ce qui constitue un atout majeur pour le United States Central Command.
Elle est accusée d'être un centre de détention secret où l'on y pratique la détention arbitraire et la torture.
Selon un article du Daily Mail du dimanche 23.03.2014, le capitaine du Boeing 777 de Malaysia Airlines, Zaharie Ahmad Shah, a reçu, deux minutes avant le décollage du vol MH370, un appel d'une femme utilisant un portable acheté sous une fausse identité.
Cette découverte, qui n'a pas reçu de confirmation officielle pour l'heure, fait renaître l'hypothèse d'un lien possible entre le commandant de bord et des groupes terroristes dont les membres utilisent régulièrement des cartes SIM introuvables.
La femme de Zaharie Ahmad Shah, Faizah Khan, devrait être interrogée dans les heures qui viennent par des agents du FBI, selon The Mail.
Le vol MH370 a-il survolé les Maldives en direction de Diego Garcia?
Des habitants de l'archipel, pourtant situé loin de la zone élargie des recherches, auraient vu un "avion gros porteur volant à basse altitude" le jour de la disparition du Boeing 777 de la Malaysia Airlines.
Des habitants de Kuva Huvadhoo, l'une des îles les plus reculées du pays, auraient vu un avion volant à basse altitude le 8 mars, le jour de la disparation du Boeing 777 de la Malaysia Airlines.
Selon le site internet du journal local Haveeru, ils affirment avoir aperçu un appareil blanc avec des bandes rouges se dirigeant vers la pointe sud de l'archipel.
Face à ces témoignages, la police des Maldives a décidé d'interroger les habitants. Les témoins cités par «Haveeru» affirment avoir vu un avion blanc avec des bandes rouges se dirigeant vers la pointe sud de l'archipel. «Je n'avais jamais vu un avion voler si bas au-dessus de notre île. Nous avons déjà vu des hydravions mais celui-ci n'en était pas un. Je pouvais même clairement distinguer ses portes», déclare ainsi un habitant.
Le journaliste du site, Farah Ahmed, a affirmé avoir réuni plusieurs témoignages similaires. «Ces personnes ont d'abord entendu le très fort bruit d'un avion volant de façon inhabituellement basse et sont sortis pour le voir», a déclaré le journaliste par téléphone à l'AFP depuis la capitale des Maldives, Male, où décollent et atterrissent chaque jour des dizaines d'avions transportant des touristes.
La piste du détournement privilégiée
L'hypothèse du détournement reste la plus vraisemblable.
Michel Polacco soutient cette idée. "On est évidemment sur une piste de détournement terroriste, mais aussi éventuellement sur une piste d'un détournement lié à un acte pathologique", poursuit-il à l'antenne de BFMTV. A son tour, l'ancien commandant Jean Serrat insiste sur des détails troublants. Il reste persuadé que cette disparition est l'oeuvre de professionnels.
"Nous sommes certains qu'il s'agit d'un détournement prévu à l'avance, coordonné par des gens qui savent exactement ce qu'ils font", insiste-t-il. "L'avion, au départ, se met à cheval sur la frontière entre la Thaïlande et la Malaisie sans déborder sur l'une ou sur l'autre. Il vire vers la droite et longe toute la frontière verticale entre la Malaisie et la Thaïlande de manière à effrayer personne".
Le Telegraph vient de dévoiler le contenu des communications entre le cockpit et la tour de contrôle. Cet échange se termine avec les derniers mots du co-pilote, "eh bien bonne nuit".
Ces échanges ont duré 54 minutes et apparaissent quasiment normaux, à deux détails près. Le premier élément étrange est un message, à 1h07 du matin. Il indique que l'avion continue de voler à 35.000 pied ("MH370 remaining in flight altitude 350"). Rien de très étonnant à cela, si ce n'est que le pilote a déjà donné cette information 6 minutes auparavant.
En outre, ce message a été envoyé à 1h07, heure qui correspond à la dernière transmission Acar, entre l'avion et le système du constructeur, avant que celui ne soit, semble-t-il délibérément coupé.
Le deuxième élément qui attire l'attention et laisse présumer que la disparition de l'avion n'est pas un accident, est que cette interruption de communication correspond au changement de zone de l'avion. Il intervient en effet pile au moment où le vol MH370 a quitté la zone de contrôle de Kuala Lumpur pour gagner celle de Ho Chi Minh Ville.
La retranscription des échanges, souligne le Telegraph que si les pilotes sont impliqués, ils ont pris toutes les précautions pour dissimuler leurs véritables intentions.
L’énigme du simulateur de vol
Le pilote détenait chez lui un simulateur de vol assez sophistiqué, dont l’examen a révélé que «des données» en avaient été effacées. Les analyses effectuées ont révélé que le pilote s’entraînait en particulier sur cinq aéroports de l’océan Indien: aux Maldives, en Inde et dans l’île de Diego Garcia qui abrite une base de la marine américaine. Selon certains experts, il n’est pas inhabituel que des pilotes de ligne possèdent un simulateur chez eux. Zaharie Ahmad Shah avait monté lui-même ce modèle sophistiqué et participait à des forums de passionnés d’aviation. Il avait même mis en ligne des tutoriels de pilotage.
Les responsabilités
En cas de catastrophe aérienne, des enjeux industriels et sécuritaires perturbent parfois les recherches. Les avions émettent des données techniques vers des centres de collecte au sol ou par satellite. Ces éléments techniques, sur les moteurs ou la structure de l'appareil, ne sont qu'ensuite redirigés vers les clients, notamment les compagnies aériennes.
Pour des raisons commerciales évidentes, les constructeurs entendent analyser, en premier, la nature d'un problème afin de savoir si sa responsabilité est en cause ou s'il existe un danger pour l'ensemble d'une flotte. Les Etats-Unis ont le monopole sur ces informations, distillées à leur guise.
La question de la détection du vol MH370 lève le voile sur l'influence des systèmes de surveillance déployés de manière plus ou moins officielle par les puissances disposant de la technologie adéquate. Aux côtés des radars civils qui gèrent le trafic aérien existent en effet d'autres moyens, plus performants mais aussi plus secrets.
Les satellites américains, en particulier, utilisés par les services de renseignement ou les militaires, s'intéressent à cette région du monde située au sud de la Chine. Or, faire état de manière directe de ce qu'ils ont pu repérer à propos du Boeing 777 reviendrait à révéler aux autres puissances régionales ce que les Etats-Unis sont en mesure de savoir à leur insu. Il s'agit pour les Etats disposant de ces moyens de composer entre l'aide apportée aux recherches et la protection d'intérêts stratégiques. Cela peut aussi retarder la délivrance d'informations.
Egger Ph.