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Pourquoi n’a-t-on pas assisté à une cérémonie de remise de médailles aux commandos héroïques qui ont débusqué et exécuté l’Ennemi Public Numéro 1 ?
Et si vous regardiez à nouveau les vidéos des effondrements des tours du WTC, vous verriez quoi ?
Est-ce vrai que la Chine vient de lancer un avertissement aux Etats-Unis que "toute attaque contre le Pakistan serait interprétée comme une attaque contre la Chine" ?
Dans un reportage explosif de la télévision Pakistanaise, l’agence Pakistani News Agency a fourni une interview d’un témoin oculaire de l’attaque US contre le supposé repaire de Ben Laden. Le témoin oculaire, Mohammad Bashir, décrit le déroulement des évènements. Sur les trois hélicoptères, « un seul a déposé des hommes pour revenir ensuite les récupérer, mais pendant qu’il les récupérait, il a explosé et a pris feu. » Le témoin dit qu’il n’y a pas eu de survivants, juste des cadavres et des morceaux de cadavres partout. « Nous avons vu l’hélicoptère en feu, nous avons vu les cadavres, puis tout a été nettoyé et maintenant il n’y a plus rien ».
Je me suis toujours demandé comment un hélicoptère pouvait s’écraser, selon la version de la Maison Blanche, sans faire au moins des blessés. Et pourtant, selon la version originale de la Maison Blanche, les commandos SEALS ont non seulement survécu sans une égratignure à 40 minutes de combats avec Al Qaeda, « les tueurs les mieux entrainés, les plus dangereux et les plus impitoyables de la planète », mais ont aussi survécu sans une égratignure à la chute d’un hélicoptère.
Le reportage pakistanais est visible sur YouTube. Le site internet, Veterans Today, a publié une traduction (en anglais) avec une vidéo de l’interview. Information Clearing House l’a publié le 17 mai.
Si l’interview est authentique et la traduction correcte, nous connaissons désormais la réponse à la question non-formulée : pourquoi n’a-t-on pas assisté à une cérémonie à la Maison Blanche avec le Président Obama en train d’épingler des médailles sur les commandos héroïques qui ont débusqué et exécuté l’Ennemi Public Numéro 1 ?
L’idée qu’Obama aurait préservé l’identité des commandos pour les protéger des représailles d’Al Qaeda ne colle pas avec leur image de SEALS durs-à-cuire et héroïques, et il est difficile de croire que les conseillers d’Obama aient résisté à la tentation d’en tirer un maximum de cet événement.
A part les sites Veterans Today et ICH, je n’ai pas vu mentionner ailleurs le reportage pakistanais. Si le corps de presse de la Maison Blanche est au courant de ce reportage, personne n’a posé de question à son sujet au Président Obama ou à son porte-parole. Helen Thomas était la dernière journaliste US suffisamment courageuse pour poser une telle question, mais elle a été éliminée par le lobby pro-Israélien.
Aux Etats-Unis, nous sommes arrivés au point où celui qui dit la vérité est déconsidéré comme un « théoricien du complot » et marginalisé. Récemment, un professeur de chimie moléculaire de l’Université de Copenhague a effectué une tournée de conférences dans plusieurs grandes universités canadiennes pour expliquer ses recherches, menées avec une équipe de physiciens et d’ingénieurs, qui ont abouti à la découverte de particules de nanotermite (explosif de haute technologie, militaire quoi, NdT) dans les échantillons de poussières des débris des tours du World Trade Center. Ces données s’ajoutent à d’autres que le professeur et son équipe considèrent comme des éléments scientifiques concluants qui prouvent que les tours ont été détruites par des démolitions contrôlées.
Aucune université US n’a osé l’inviter, et ne je n’ai trouvé aucune mention de cette recherche explosive dans la presse US.
Je trouve incroyable que 1500 ingénieurs et architectes, qui en connaissent un rayon sur les bâtiments, sur leur construction, leurs forces et leurs faiblesses, et qui ont constamment exigé une véritable enquête sur la destruction des trois tours du WTC, soient considérés comme des conspirationnistes par des gens qui eux ne connaissent absolument rien en architecture, en ingénierie ou en constructions. Il en va de même pour les nombreux pilotes qui remettent en cause les manœuvres effectuées par les avions au cours des attaques, et les pompiers survivants et en premier secours qui ont raconté avoir entendu et personnellement ressenti des explosions dans les tours, dont certaines dans les sous-sols.
Un grand nombre de personnalités politiques importantes à l’étranger ne croient pas un mot de la version officielle du 11/9. Par exemple, l’ancien président de l’Italie et doyen du Sénat italien, a déclaré au plus ancien quotidien d’Italie, Corriere della Sera, que les services de renseignement européens « savent parfaitement que les attaques désastreuses (du 11/9) ont été planifiées et réalisées par la CIA (états-unien) et le Mossad (israélien)… afin de mettre en accusation les pays arabes pour amener mes puissances occidentales à participer (aux invasions). »
Même ceux qui mentionnent l’existence d’opinions dissidentes, comme cela m’est arrivé de le faire, sont qualifiés de « théoriciens du complot » et sont bannis des médias. Non seulement des journaux et des télévisions., mais aussi de l’Internet. Récemment, un journaliste du site Internet The Huffington Post a découvert que Pat Buchanan (célèbre journaliste/conseiller politique républicain très conservateur – NdT) et moi-même étions opposés aux invasions de l’Irak et de l’Afghanistan. Il était fasciné par le fait qu’un ancien haut-fonctionnaire de l’administration Reagan puisse être en opposition avec la politique guerrière du Parti Républicain et il m’a sollicité pour une interview.
Après la publication de l’interview sur The Huffington Post, quelqu’un lui a dit que je n’étais pas très net par rapport au 11/9. Paniqué, le journaliste m’a contacté et m’a demandé si je doutais de la version officielle du 11/9. J’ai répondu que n’étant ni architecte, ni ingénieur, ni physicien, ni chimiste, ni pilote et ni pompier, je ne pouvais pas vraiment contribuer à la compréhension de cet événement, mais que j’avais effectivement signalé que différents experts avaient soulevé des questions.
Le journaliste était terrifié à l’idée d’avoir pu donner de la crédibilité aux scepticisme régnant autour du 11/9 et se faire licencier pour m’avoir interviewé sur les guerres pour The Huffington Post. Il a aussitôt rajouté devant le texte de l’interview, et aussi à la fin si je me souviens bien, que mes positions insensées sur le 11/9 ôtaient par conséquence toute crédibilité quant à mes propos sur les guerres. Heureusement qu’il ne savait pas que je doutais de la version officielle du 11/9, sinon il n’y aurait jamais eu d’interview.
Il n’est pas nécessaire d’être un scientifique, un architecte, un ingénieur, un pilote ou un pompier pour remarquer les anomalies surprenantes de la version officielle du 11/9. Mais admettons que la version officielle soit vraie et qu’une bande de terroristes ont réussi à tromper la vigilance non seulement de la CIA, du FBI et des 16 autres services de renseignement des Etats-Unis ainsi que tous ceux de nos alliés de l’OTAN, et du Mossad, sans oublier le Conseil de Sécurité Nationale, la NORAD, le contrôle aérien et la sécurité des aéroports, à quatre reprises et en l’espace d’une heure et dans la même journée. Admettons que ce groupe de terroristes ait réussi un exploit digne d’un film de James Bond et à frapper de façon humiliante l’unique super-puissance au monde.
Si tel était le cas, n’aurions-nous pas vu le président, le Congrès et les médias demander comment une telle chose aipu avoir lieu ? On n’aurait entendu parler que d’enquêtes et de comptes à rendre. Et pourtant, le Président Bush et le vice-président Cheney ont résisté aux supplications et demandes d’enquête des familles des victimes du 11/9 pendant plus d’un an, sinon deux, avant de finalement désigner une commission de politiciens béotiens chargés d’enregistrer tout ce que le gouvernement leur racontait. Un des membres de la commission a démissionné parce que « les dés étaient pipés ».
Plus encore, les deux présidents et le conseiller juridique en chef de la commission du 11/9 ont publié des livres où ils expliquent qu’ils sont convaincus que les militaires et d’autres secteurs du gouvernement ont menti à la commission et que la commission envisageait une enquête et des mises en accusation.
Thomas Kean, président de la Commission du 11/9, a dit « Les officiels de la FAA et de la NORAD ont fourni une version des évènements du 11/9 qui est fausse… A ce jour, nous ne savons toujours pas pourquoi NORAD nous a raconté ce qu’ils nous ont raconté… C’était tout simplement faux. »
Le vice-président Lee Hamilton a dit : « Nous avions un délai très court… Nous n’avions pas assez d’argent… Beaucoup de gens s’opposaient fermement à notre travail. Nous avions beaucoup de difficultés pour obtenir les documents et entendre les gens… Il y a donc largement matière à penser que tout avait été organisé pour nous faire échouer. »
En ce qui me concerne, je ne connais pas un seul membre du gouvernement ou des médias qui se soit posé la question de savoir pourquoi des militaires mentiraient à la commission. Encore une anomalie dont on attend toujours une réponse.
Le plus bizarre est la conclusion tirée par les téléspectateurs à la vue de la chute des tours du WTC. La plupart semblent se satisfaire de l’explication selon laquelle les tours se sont effondrées à cause des dégâts de leurs structures infligés par les avions et par des incendies limitées et de basse-température. Pourtant ce que montrent les images sont non des immeubles qui s’effondrent mais des immeubles qui explosent. Des immeubles qui s’effondrent à cause d’incendies ou de dommages structurels ne s’effondrent pas en 10 secondes, pas plus qu’ils ne se désintègrent en un nuage de poussière en laissant apparaître des poutres massives d’acier tranchées à chaque étage à une température qu’aucun incendie d’immeuble ne peut atteindre. Une telle chose n’est jamais arrivée, et n’arrivera jamais.
Faites l’expérience suivante. Libérez votre esprit de l’explication téléguidée sur la destruction des tours et tentez d’interpréter ce que vous voyez dans les images disponibles en ligne. Est-ce ainsi que les immeubles s’effondrent, ou est-ce plutôt ainsi qu’ils sont détruits par une démolition contrôlée ? Il ne fait pas de doute que de nombreux américains préfèrent la version officielle à toutes les implications qu’entraînerait la conclusion que la version officielle est un mensonge.
Si certaines informations sont correctes, le gouvernement US se consacre à contrôler la perception que le public a des informations et des évènements. Apparemment, le Pentagone a mis en place un bureau « Perception Management Psychological Operations ». Il y a aussi des informations selon lesquelles le Département d’Etat et d’autres secteurs du gouvernement utiliseraient Facebook et Twitter pour provoquer des troubles en Syrie, en Iran, en Russie, en Chine et au Venezuela afin de déloger des gouvernements non-contrôlés par Washington. En plus, il semblerait que le gouvernement et des organisations privées emploient des « trolls » pour naviguer sur Internet et tenter de porter discrédit dans les blogs et en publiant des commentaires contre des articles ou des auteurs qui ne sont pas alignés sur leurs intérêts. Je pense avoir été moi-même victime de trolls.
A part le fait de contrôler notre perception, de nombreuses informations ne sont tout simplement jamais publiées. Le 19 mai 2011, un quotidien britannique fondé il y 140 ans, The Statesman, a écrit que Press Trust of India avait rapporté que le gouvernement chinois avait mis en garde Washington « en termes clairs et précis que toute attaque contre le Pakistan serait interprétée comme une attaque contre la Chine, » et conseillait au gouvernement US « de respecter la souveraineté du Pakistan. »
Comme l’analyste Gerald Celente et moi-même l’avons dit, les faucons à Washington nous entrainent vers une troisième guerre mondiale. Une fois qu’un pays tombe sous le contrôle du complexe militaro-industriel, l’exigence de profits enfonce le pays de plus en plus dans la guerre. Peut-être que l’information publiée en Inde est fausse, ou peut-être que les grands médias sourds et aveugles finiront un jour par en parler, mais pour l’instant cette mise en garde extraordinaire de la Chine n’a été signalée par aucun média US.
Les grands médias et une partie significative de l’Internet sont satisfaits de nous voir manipulés par des opérations psychologiques et par les silences des moyens d’information. C’est pour cela que j’ai récemment écrit que les Américains vivaient dans le roman « 1984 » de George Orwell.
Paul Craig Roberts