Le régime en faillite des mollahs redoutant le boycott de sa mascarade électorale par le peuple iranien après la mort de Raïssi et à l’approche de la grande manifestation des Iraniens à Berlin le 29 juin, a publié, dans la soirée du mercredi 12 juin 2024, une info copiée et prise en boucle dans une série de médias du ministère du Renseignement, des Gardiens de la Révolution et de la force terroriste Qods.
L’ensemble de ces supports annoncent : « Il y a quelques heures, la police française a attaqué l’un des centres du groupe terroriste des Hypocrites à Paris ». En même temps, les médias du régime ne cessent de répandre une rumeur totalement mensongère sur l’état de santé de Mme Maryam Radjavi, faisant même croire à son hospitalisation. Ce qui est évidemment faux.
Cet enchaînement de mensonges, traduit les craintes que ressent le régime, de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI) et de la Résistance iranienne, tout comme il a peur de l’adhésion croissante de la jeunesse à ce mouvement et de l’ascension du prestige international de la Résistance. Cela souligne aussi bien le besoin qu’éprouve le régime pour une politique de complaisance de la part des gouvernements occidentaux.
Mercredi après-midi, un bâtiment appartenant aux sympathisants du Conseil national de la Résistance iranienne à Saint-Ouen-l’Aumône, au nord de Paris, a reçu la visite de la police. Les habitants ont reçu ouvertement les agents et ont suivi leurs instructions concernant les mesures de sécurité contre les actes terroristes. Ce bâtiment a été attaqué à deux reprises par les terroristes du régime des mollahs l’an dernier (les 31 mai et 11 juin).
Contrairement aux allégations bien connues des mollahs et de la Gestapo du régime, il n’y avait rien d’irrégulier, ni aucun travail illégal dans ce lieu où tout est légal et enregistré. L’année dernière, dans le jugement du tribunal de Paris concernant la manifestation de la Résistance iranienne sur la place Vauban, ce lieu était mentionné sous le nom de : « Association Cima » qui est fréquentée par les sympathisants de la Résistance iranienne.
Le 31 mai 2023, des terroristes et mercenaires de la Force Qods et du ministère du Renseignement du régime s’étaient rendu sur ce site et avaient tiré 6 balles contre le bâtiment. De nouveau, le 11 juin 2023, le même endroit avait pris feu avec le jet de matériaux incendiaires.
Dans son communiqué du 11 juin 2023, la Résistance iranienne avait demandé au gouvernement français, à la police et à la justice de ce pays d’arrêter les auteurs et commanditaires de ces actes terroristes, de rendre publiques leurs identités, de les poursuivre et de publier tous les documents et les détails pour informer l’opinion publique. Une demande que nous réitérons une fois de plus.
Staff Writer