Une source au service de sécurité a déclaré qu’au moins une carte SIM capable de transmettre des données de localisation a été découverte à l’intérieur d’une partie scellée d’une voiture importée de Chine.
Les véhicules fouillés sont souvent utilisés par des diplomates et des hauts responsables du gouvernement.
Un officier du renseignement en service a déclaré que les véhicules avaient été “démantelés chirurgicalement jusqu’au dernier écrou et boulon” alors que les services de renseignement chinois ciblaient les ministres britanniques.
La source a déclaré à inews : “Il [the SIMs] donne la possibilité d’enquêter sur le gouvernement sur une période de mois et d’années, en enregistrant constamment les mouvements, en construisant constamment une image riche de l’activité.
Selon un ancien analyste du GCHQ, l’objectif est “davantage sur la quantité” et d’en intégrer autant que possible pour “identifier les sites d’intérêt”.
Il est entendu que les pièces automobiles chinoises sont montées sans être ouvertes en raison de la garantie et des accords commerciaux.
L’ancien chef conservateur Sir Iain Duncan Smith a appelé à ce que la Chine soit reconnue comme une menace pour le Royaume-Uni.
Il a déclaré au point de vente: “Je ne sais pas combien le Royaume-Uni a besoin d’en savoir plus sur la menace que la Chine représente pour nous tous.
“Il est certainement temps de changer l’examen intégré et de qualifier la Chine de menace systémique.”
Cela vient après que le MPS a également déclaré que la Chine devrait être officiellement considérée comme une “menace” pour le Royaume-Uni, les liens économiques des pays étant dilués pour permettre à la Grande-Bretagne de défendre ses valeurs.
Mais un changement potentiellement risqué vers un langage plus fort doit être évité à moins que le gouvernement ne puisse s’engager à prendre des mesures significatives, a averti le mois dernier la Commission des affaires étrangères de la Chambre des communes (FAC).
Dans un rapport sur la mise à jour de l’examen intégré (RI) de la défense et de la politique étrangère, le FAC a appelé le Royaume-Uni à renforcer sa résilience face aux menaces internationales – y compris la Chine – s’il veut rester un “poids lourd” mondial.
Pour y parvenir, le comité a recommandé de faire appel à un nouveau “responsable national de la résilience” et de lancer des réunions intergouvernementales régulières sur la question.
La présidente Alicia Kearns a déclaré que la capacité de la Grande-Bretagne à répondre aux chocs mondiaux “sismiques” avait été “testée à plusieurs reprises” ces dernières années, de la pandémie de Covid-19 à l’invasion russe de l’Ukraine.
Ces événements ont “exposé notre vulnérabilité”, indiquant “clairement” que la nation doit devenir plus résiliente, a-t-elle déclaré, en particulier en respectant une “ligne fine” dans les relations avec la Chine.
Le comité a constaté que la dépendance de la Grande-Bretagne vis-à-vis de la puissance mondiale “contraint” sa capacité à défendre ses propres intérêts et valeurs, limitant ses options lorsque la Chine “défie l’ordre international”.
Malgré leurs inquiétudes, les députés ont déclaré que le gouvernement devrait continuer à travailler avec la Chine sur des “domaines clés”, insistant sur le fait que cela est vital pour poursuivre certains objectifs mondiaux, tels que la lutte contre le changement climatique.
Il a averti que la Chine représentait une “menace importante” pour le Royaume-Uni à “de nombreux niveaux différents”, citant des dangers potentiels tels que le vol de propriété intellectuelle et l’intimidation des citoyens britanniques.