Les services de renseignement français (DGSE) auraient-ils abandonné derrière eux les agents afghans qui ont travaillé pour eux pendant plus d’une décennie ?
C’est l’accusation formulée par un collectif d’avocats, dans une adresse au patron des services secrets. Selon cette lettre laissée sans réponse, 34 ex-espions afghans, au service de la France, seraient toujours à Kaboul, en grave danger alors qu’ils possèdent des données ultrasensibles.