Selon des informations parues ce vendredi sur plusieurs sites qui ne sont pas nécessairement fiables, il y avait 2 terroristes dans l’avion d’Egyptair qui s’est abîmé en Méditerranée, au Sud de la Grèce, alors qu’il faisait route vers Le Caire, en provenance de Paris.
L’un des terroristes aurait été chargé de protéger le second, le temps qu’il récupère et fasse détonner un système explosif placé précédemment à bord par un membre de l’équipe d’approvisionnement à Paris, dans le compartiment réservé aux hôtesses.
L’identité des 2 terroristes serait d’ores et déjà connue des services de renseignement français. L’identité de celui ou ceux ayant placé l’engin explosif à bord serait pour le moment toujours inconnue.
Pour rappel, le vol Egyptair MS 804 comptait trois agents de sécurité et 7 membres d’équipage, en plus des 56 passagers victimes du crash.
Les débris de l’Airbus d’Egyptair, qui s’est écrasé le 19 mai, n’ont été révélés à ce jour que de petits éléments – fragments du fuselage et d’affaires de passagers déchirés en petits lambeaux – ce qui pourrait témoigner d’une puissante déflagration à bord, selon le général et ancien pilote égyptien Ihab Moursi.
Il a déclaré à l’agence russe RIA Novosti/RT News: « si une explosion se produit dans les airs, il ne subsiste pas d’éléments dans leur entièreté. Pour le moment, tout ce que nous avons trouvé ne sont que des petits fragments. Même les gilets de sauvetage sont en lambeaux, tout comme les moquettes. Ceci peut témoigner d’une puissante explosion », a-t-il déclaré.
D’après l’hypothèse avancée par M.Moursi, des terroristes se seraient infiltrés depuis des années au sein du personnel de l’aéroport parisien. « C’est possible, en France on trouve des extrémistes de différentes nationalités. Il se peut que certains d’entre eux travaillent à l’aéroport depuis des années. Après en avoir reçu l’ordre (…), ils ont réussi à tromper les mesures de sécurité », a indiqué l’expert égyptien dans un entretien à RIA Novosti.
Pour cet expert égyptien, il était peu probable que l’explosion, si cette thèse se confirme, ait été perpétrée par un terroriste se trouvant à bord de l’appareil.
« Je doute qu’il s’agisse d’un terroriste-kamikaze, car il aurait pu faire exploser l’avion au Caire, ce qui aurait produit plus d’effet. Il est plus probable qu’il s’agisse d’un employé de l’aéroport qui avait accès à l’appareil », a noté M.Moursi.
On s’oriente en tout cas de plus en plus vers la thèse de l’attentat. Les boîtes noires n’ont toujours pas été récupérées.
Cela pose la question lancinante, évoquée plusieurs fois dans Le Peuple, du personnel de nos aéroports, qui – au niveau des bagagistes – est à très forte majorité musulmane. C’est vrai à Bruxelles et davantage encore à Paris CDG. De quoi donner froid dans le dos pour l’avenir…