Les musulmans savent bien des choses, mais ils passent leur temps à se mentir et à nous mentir. Il est de mon devoir de les inviter à se libérer de leurs propres chaînes. Les musulmanes et les musulmans sont mes frères et sœurs en humanité. Mes deux parents étaient musulmans et sont morts dans cette conviction.
Toute ma vie, j’ai vu les musulmans empêtrés dans les contradictions d’une croyance qu’ils ont rarement choisie. Je les vois constamment englués dans une hypocrisie qui n’a qu’un seul but : dédouaner Mahomet, le « beau modèle » de tous les musulmans. Ils tentent de nier les méfaits qu’il a commis et qui sont, à tout jamais, inscrits dans l’Histoire (et la géographie), telle que des historiens musulmans nous la racontent.
Les musulmans se trouvent constamment obligés de racheter Mahomet et son livre sacré, le Coran, quitte à accuser tous les musulmans de n’avoir rien compris au « vrai » islam. Ils tentent de se convaincre que le Coran et Mahomet prêchent le respect et l’amour et de notre humanité. Mais ils savent parfaitement que Mahomet n’eut aucun respect pour les Arabes tolérants qui vénéraient, avant sa prise du pouvoir, aussi bien Allat que son alter ego masculin Allah. La femme chez les Arabes accédait, elle aussi, au rang de déesse.
Les musulmans savent parfaitement que, du temps de Mahomet, les Arabes avaient en partie adopté le christianisme et l´obligation de fidélité réciproque entre époux. Ils savent parfaitement que tout ce beau monde polythéiste vivait en bonne intelligence avec les juifs et d’autres croyances monothéistes. Les musulmans savent parfaitement qu’après avoir été fidèle à sa première femme, tant qu’il était régi par les lois de La Mecque, Mahomet s’est octroyé, ainsi qu’aux riches musulmans, le droit d’épouser les femmes par deux, par trois, par quatre… et autant qu’ils peuvent s’acheter de concubines sur le marché des esclaves.
Les musulmans savent parfaitement que Mahomet avait conduit des razzias, sabre en main, et qu’il avait prélevé une belle esclave juive pour l’adjoindre à son harem pléthorique. Les musulmans savent parfaitement que Mahomet leur a interdit toute alliance avec les juifs, avec les chrétiens ou les non-musulmans. La musulmane n’a jamais eu le droit d’avoir de l’amour dans son cœur et dans son lit pour les juifs, pour les chrétiens ou pour les non-musulmans. C’est de cette façon que l’islam s’assure qu’elle n’engendrera que des musulmans.
Mes frères et soeurs musulmans savent tout cela, et aussi que l’islam est à tout jamais liberticide, ségrégationniste et peu confraternel. Ils savent parfaitement que l’islam n’a pas de respect pour l’Autre, totalement autre, et ils continuent de vénérer le Coran et Mahomet parce qu’ils ont peur des châtiments que peuvent leur infliger leurs propres communautés musulmanes. Ils sont prisonniers de la peur élevée au rang de religion par Mahomet.
Mais voilà que des musulmans bien instruits, maniant très bien le français, tels un Abdennour Bidar, un Ghaleb Bencheikh, un Tahar Ben Jelloun et bien d’autres célébrités, nous chantent les louanges d’un « islam tolérant », d’un « islam des Lumières », entre autres balivernes. La vénération craintive du Coran et de Mahomet les a tous amenés à se mentir et à nous mentir par la même occasion.
Je propose donc à mes frères et sœurs musulmans de se libérer de ce monstre qu’est Mahomet. Il n’a jamais eu de respect pour les êtres, à commencer par celles que le Coran élève, soi-disant, au rang de « mères des croyants ». Une entourloupe linguistique pour désigner les neufs veuves de Mahomet, interdites ainsi de remariage… avec leurs fils. Il est temps, chères musulmanes et chers musulmans, de relever la tête et de ne plus vous prosterner.
Voilà donc le respect sincère que je vous dois.
Pascal Hilout
Rédacteur à Riposte Laïque