Les autorités ont testé la vigilance des agents chargés des contrôles de sécurité. Dans, 95% des cas, les inspecteurs ont réussi à passer fausses armes et explosifs.
Dans 95% des situations, ils ont donc pu accéder à l’avion sans éveiller les soupçons. Dans un des cas, un inspecteur muni d’une fausse bombe collée sur son dos a même fait sonner une alarme. Mais l'agent qui l'a ensuite palpé n'a rien trouvé, et l’a laisser passer.
Formation à revoir
Jeh Johnson, responsable de l’étude, a expliqué au «New York Times» que l’administration prenait ces résultats «très au sérieux». L’Agence de sécurité des transports a été sommée de revoir la formation de son personnel. Johnson a toutefois tenu à rassurer le public, soulignant que les passagers étaient soumis à d'autres types de contrôles, moins visibles, dans les aéroports.