Depuis le début de cette affaire, il y a une volonté délibérée de gagner du temps et de désinformer !
La seule question à se poser est de savoir pourquoi ?
Et, le mystère du vol MH370 sera définitivement levé.
TF121
Petite anecdote très intéressante
Le 7 avril 1992, le leader historique de l'OLP Yasser Arafat voit la mort de très près. Son avion décolle de Khartoum pour se diriger vers Tunis. A peu près à mi-parcours, de très violents vents de sable se soulèvent. A 20h45, l'Antonov 26 disparaît des écran radars. Dans les grandes capitales arabes et dans les chancelleries occidentales, l'inquiétude monte pendant 15 heures car on n'a aucune nouvelle de l'avion.
A Washington, Jimmy Carter reçoit un appel du conseiller palestinien; Bassam Abou Charif, qui lui demande d'user de son influence auprès de Georges H. Bush afin d'obtenir les images satellites de l'endroit supposé du crash. "Je vais voir ce que je peux faire" répond Carter.
Quinze minutes plus tard, la Maison Blanche transmet la position exacte du site du crash. On retirera plusieurs cadavres de l'avion, mais Yasser Arafat est vivant et s'en tire avec des contusions, l'équipage et plusieurs gardes du corps se sont sacrifiés et faisant un bouclier humain lors de l'impact pour protéger le leader palestinien.
Les responsables du renseignement américain de l'époque ont émis qu'aucun objet de la taille d'un point pouvait leur échapper sur la planète grâce aux satellites d'observation. A méditer !
En 2014, on serait incapable de savoir où est passer un objet de plus de 66 mètres de long, sachant que plusieurs satellites surveillent la région et plusieurs forces armées s’épient 24h sur 24.
Le 8 mars 2014; des habitants d'une minuscule île appelée Kudahuvadhoo avaient affirmé avoir vu voler très, très bas, vers 6H30 heure locale, un grand avion blanc "faisant beaucoup de bruit", chose totalement inhabituelle dans les parages. Pour aussitôt s'entendre dire que ce n'était "pas vrai" par le ministre malaisien des transports, Hishammuddin Hussein, expliquant qu'il avait eu au téléphone des responsables locaux qui l'avaient "démenti".
Le 23 avril 2014, on apprend la découverte d'un débris reconnaissable d'avion le 25 mars 2014, soit 17 jours après la disparition du vol MH 370, indiquant un crash... relativement proche (et pas au large de l'Australie).
C'est donc depuis le mois d'avril 2014 que l'on pouvait concentrer les recherches du côté des Maldives... à savoir vers le Sud Ouest de l'Inde et non vers l'Australie, où l'on a toujours rien trouvé, à part des bruits non déterminés.
On ment dans cette histoire abracadabrante où l'on a déjà tout entendu, entre les baleines qui chantent à 37,5 mhz (alors qu'elles ne dépassent jamais 20 hz, sauf.... une seule, qui atteint 52 hz) ou les fameux techniciens de Freescale, détenteurs de secrets de défense imaginaires, sans parler des passeports volés. Et ce ministre malaisien des transports, et ces étranges prestations de plus en plus contradictoires.
Au vu des photos du seul débris retrouvé à ce jour, on est en train de se poser une question très prosaïque : avec ce qu'on a découvert aux Maldives, c'est sûr, on cherche aujourd'hui encore... du mauvais côté de l'océan (alors qu'on annonçait encore avoir trouvé un "long morceau" (2,5 m de long) sur la côte australienne) !
Découvrons tout d'abord les photos de ce qui s'est échoué le 25 mars dernier sur la plage de Baarah, dans les Maldives, sur l'atoll de Haa Alif, précisément.
Extincteur de vol retrouvé par deux adolescents sur la plage de Baarah
L'armée serait venue chercher l'objet et l'aurait remis à Boeing, qui n'en a plus parlé. Selon les spécialistes à qui l'enquêteur a confié les clichés, l'objet est un extincteur de Boeing, une information confirmée par un militaire des Maldives.
Il s'agît d'une bouteille d'extinction d'incendie (un extincteur, autrement dit) équipant les soutes de long-courriers et les avions cargos. La page du fournisseur Kidde Graviner en apporte la preuve. Si les attaches de la bouteille sphérique sous pression divergent en effet d'un modèle à l'autre, ainsi que son embout, qui peut être parfois double, celui de Kidde Aerospace (KA) correspond point par point à un modèle de B-777, avec ces supports de petites tailles répartis sur sa circonférence. L'engin fonctionnant au gaz Halon 1311 (destructeur d'ozone, il est en cours de remplacement progressivement), serait en titane, selon Kidde Aerospace qui en vante la primeur sur le B-777, justement : " la bouteille d'extinction de titane a été initialement introduite avec le B777, une nouvelle technologie a été utilisée dans la fabrication de l'appareil. La bouteille offre une économie substantielle de poids par rapport aux bouteilles en acier standard utilisés sur les avions précédents".
Un catalogue de pièces détachées de maintenance de Boeing, montre une bouteille étrangement sphérique, aux attaches fort similaires. On peut facilement imaginer que ce qui semble être une double poignée de mise en place en métal léger qui a été séparée du reste de l'appareillage lors du choc.
Reste plus qu'à savoir où se situe exactement ce ou ces sphères, car le B-777 est censé en avoir plusieurs à bord. Un schéma fourni par Kidde Aersospace nous éclaire. Sur un Boeing 777, il y a 6 bouteilles de ce type et vous pouvez les repérer sur le schéma ci-dessous produit par le fournisseur :
2 par réacteur, logées dans leur nacelle.
1 dans la soute avant.
1 dans la queue de l’appareil,
associé au petit réacteur APU qui fournit l’énergie de l’avion au sol (Auxillary Power Unit).
La photo de deux bouteilles d’extincteur accolées, prise sur la nacelle d’un des réacteurs ne laisse aucun doute sur une similitude avec l’objet échoué sur la plage.
Le Boeing 777 est le premier type d’avion qui est équipé de nouvelles bouteilles en titane, ce qui offre une économie substantielle de poids, selon Kidde Aerospace. Ce serait là un élément de plus pour l’identification de la bouteille trouvée.
La soute cargo sous le plancher des passagers en contient donc, à deux endroits (avant et arrière), mais aussi dans les réacteurs principaux et l'APU, ce troisième réacteur qui fournit l'énergie électrique à bord, et qui est indispensable au bon fonctionnement de l'appareil. Si les bouteilles d'extincteurs de la soute peuvent être effectivement les premières visées par un incendie dévastateur et explosif, on songe aussi à celles arrachées par un contact violent de l'appareil en cas d'amerrissage à plat avec les deux protubérances des réacteurs ou en cas d'atterrissage plus câbré celui aux côtés de l'APU.
En tout cas, une bouteille en titane a été détachée de ses supports, montre qu'elle a été éjecté du reste de la carlingue. Comparé à l'appareil, c'est effectivement un petit fragment, certes... mais c'est aussi un des plus résistants !
Ce qui a le don d’inquiéter l'animateur du site Maldives Finest :"nous n'avons pas obtenu d'informations supplémentaires au sujet de la bouteille d'extinction d'incendie trouvée échouée sur la plage des Maldives. Il y a maintenant de plus en plus de questions, et les autorités ne donnent aucun renseignement sur cet objet. Tentent-ils simplement ignorer le fait qu'un objet pouvant appartenir au MH370 a été trouvé ? Ou les autorités veulent-elles que le monde entier se concentre sur les profondeurs des grands océans juste pour dire, que l'avion ne sera peut-être jamais retrouvé ? Nous ne pouvons pas croire que Boeing et les autorités malaisiennes ne sont pas au courant de cet objet.
Pourquoi n'ont-ils rien dit jusqu'à présent ?" . Intriguant silence, en effet !
Ce que je découvre aussi bien tardivement, à vrai dire : en cherchant sur le net, voilà que je découvre avec effarement. Ce morceau qui semble comme le dit l'intervenant important pour l'enquête... mais que l'on a manifestement écarté de la presse "mainstream". Dans quel but, voilà qui pose en effet question : "Pourquoi les grands réseaux d'informations ne le signalent pas ? Peut-être qu'ils ne le souhaitent pas ?
A ce jour, ce fameux extincteur je n'en connaissais même pas l'existence, pourtant : c'est le fruit du hasard qui me l'a fait connaître ! L'extincteur a été remis au Northern Command de la Maldives National Defence Force... et depuis, aucun communiqué !!! Le responsable, le Major Hussain Ali, se contentant de dire qu'il était au courant de la découverte, sans plus.
Pourquoi une telle chape de plomb sur le sujet ? Un mystère de plus au volet déjà bien large de la chute du Boeing de la Malaysian Airline !!
Courants marins
L'histoire nous ramène à ce qui n'a pas été qu'une rumeur dans un premier temps, mais qui a été confirmé par la suite. Le site des Maldives, Minivan News; cite cinq témoins qui ont dit qu'ils ont vu l'appareil . " Il était environ 6h30 du matin , j'ai entendu un grand bruit et je suis sorti pour voir ce que c'était, " dit Adam Saeed, un enseignant à l'école Kudahuvadhoo, qui a déclaré au site de Minivan News: " J'ai vu un avion voler très bas et il y avait une ligne droite rouge au milieu de celui-ci. Le vol se déplaçait du nord-ouest au sud-est ", a-t-il dit -. Un autre insulaire, qui s'est identifié comme Hamzath, dit à Minivan News qu'il avait également vu un avion volant à basse altitude nord-ouest au sud-est . "Les gens ont commencé à parler quand ils ont réalisé que le vol que nous avons vu a les mêmes caractéristiques que de l'avion disparu", a déclaré Hamzath. ''Nous ne sommes toujours pas en train de dire que c'est le même avion, nous voulions juste le signaler au cas où". Un autre a suggéré que les rapports avaient été exagérés . "Un avion volait près de l'île", a déclaré le témoin qui n'a pas été nommé. " Il n'était pas très grand, aussi grand que les gens disent . "Ces jours-ci, les gens vont à la pêche tous les matins. Environ 30 personnes sont toujours là le matin - mais personne n'en a parlé alors. Si c'était aussi notable, fort et grand, les gens en auraient parlé." Les débris en mer font à cet endroit dérivent d'environ 4 km par jour : en 17 jours, cela signifierait que l'appareil se serait crashé dans un rayon d'à peine 68 km de l'île, les pêcheurs n'allant pas aussi loin : leurs observations peuvent aussi coïncider avec l'avion à la "bande rouge" observé.
Les habitants de Kudahuvadhoo ne semblent en fait pas avoir été écoutés. L'animateur du site touristique des Maldives Finest précisant "qu'il y a trois aéroports internationaux dans les Maldives, le principal est l'aéroport international de Malé (aussi appelé aéroport international Ibrahim Nasir). Les autres sont Gan, sur l'atoll d'Addu, et l'île Hanimaadhoo sur l'atoll d'Haa Alif. Ces deux aéroports sont sur deux pointes du pays (...). Pour les transferts de villégiature les Maldiviens utilisent les hydravions. En fait les Maldives est le foyer de la plus grande utilisation de l'hydravion au monde". La piste de l'aéroport de Malé fait 3200 m, largement de quoi accueillir les B-777 : s'y diriger n'est pas viser une "petite piste" comme on a pu accuser le pilote de vouloir le faire. Leurs témoignages n'ont pas été pris en compte par la Malaisie, qui visiblement les a pris de haut en les déclarant "faux".
Voir passer un avion tous réacteurs allumés et bruyants aussi bas pouvait aussi bien signifier une chute prochaine d'un avion... en perdition.
Le silence autour de cette découverte m'intrigue ? Car c'est cela qui étonne en fait : le seul débris plausible retrouvé l'a été à un endroit où visiblement, on n'a rien fait pour le vérifier, ni aller sonder les alentours : pourquoi donc ?
Est ce que des extincteurs d'avion peuvent tomber ainsi du ciel sans qu'on ne consacre au moins une ou deux lignes dans la presse ?
L'une des premières directions évoquées par la presse pointait vers l'Océan Indien et les Maldives, pas vers l'Australie.
Boeing a-t-il mis en place un calendrier efficace de changement de ses fameux extincteurs en raison du Halon utilisé à bord ?
L'appareil des Malaysian Airlines a-t-il gardé ces extincteurs originaux ou lui a-t-on changé et au quel cas d'ou vient celui-ci ?
Les questions que pose cette découverte fin mars sont véritablement inquiétantes... sur le niveau de communication souhaité par le ministre des transports malaisiens, qui a davantage écarté les réponses que d'y avoir répondu.
Chercherait-on au mauvais endroit depuis des mois ?
Pourquoi n'a-t-on rien su sur cette découverte importante ?
Pourquoi parle-t-on de découvertes sur une plage en Australie sans parler de celle des Maldives ?
Les conséquences de cette découverte
Une éventuelle confirmation de l’authenticité du fameux extincteur viendrait jeter un sacré pavé dans la mare. Cela voudrait dire qu’on a dépensé 36 millions€ (source gouvernement australien), pour chercher une épave qui était à environ 5.000 km de la zone de recherche qu’on avait située dans l’océan Indien ! Et ce, alors que cette découverte de l’extincteur date du 25 mars, c’est-à-dire avant les opérations les plus lourdes de recherches !
Toutes ces recherches dans l’Océan Indien ont eu pour origine les fameux « Pings » émis par l’avion, en réponse à des interrogations toutes les heures par le sol, en direction d’un satellite géostationnaire à 36.000km, qui répercutait vers l’avion, lequel lui répondait pour lui signaler qu’il était toujours en contact. Par des calculs complexes, que je n’ai pas compris et je ne dois pas être le seul, une équipe de la Société Inmarsat, qui gère ces satellites a déterminé qu’à 08h11 le 8 mars, l’avion était dans une zone située à environ 1.700km à l’Ouest de l’Australie. Ces calculs ont été approuvés par le AAIB (Bureau d’enquête accident britannique).
Deux solutions sont possibles concernant cet extincteur :
Il ne serait pas celui du MH 370 et on nous aurait monté un canular. Mais pour servir quels intérêts ?
Il est bien une pièce de l’avion disparu et les responsables de la société et nous doivent de sérieuses explications.
Conclusion
L'avion a pu être détourné par un hacking à distance de son système informatique en vue de commettre un attentat terroriste, ou par des pirates de l'air. Il se peut également qu'il y ait eu un incendie à l'origine du décès de toutes les personnes à bord. Ces deux suppositions expliqueraient que l'appareil ait dévié de sa trajectoire et que, de peur qu'il se dirige sur Diego Garcia, l'armée américaine ait décidé de l'abattre. La première hypothèse est la plus logique et expliquerait beaucoup de choses.
TF121