Le virus Ebola n'est pas présent qu'en Afrique: une contamination s'est produite en Espagne, et quelques cas ont été importés en Europe et aux Etat-Unis. - © BFMTV
Alors que le virus Ebola a été contracté par une aide-soignante en Espagne, un fait inédit sur le sol européen, trois cas suspects ont été pris en charge par les autorités espagnoles. Au total, 13 cas avérés ont été traités hors d'Afrique. BFMTV.com fait le point sur la propagation du virus.
Un cap symbolique a été franchi: avec l'aide-soignante espagnole, pour la première fois, une personne a contracté Ebola sur le sol européen. Il y avait déjà eu des diagnostics en Europe, en Norvège par exemple, et aux Etat-Unis. Mais jusque là, quiconque n'allait pas en Afrique était supposément hors de danger.
Alors que la situation est très préoccupante en Afrique de l'Ouest, treize cas d'Ebola ont été détectés hors d'Afrique. Une étude récente a montré que la France pourrait compter parmi les prochains pays à subir des contaminations, mais notre système de santé, préparé à ces risques, rend peu vraisemblable une flambée telle que celles qui ont eu lieu en Guinée ou au Sierra Leone. La seule patiente française infectée est d'ailleurs sortie guérie de l'hôpital de Saint-Mandé, près de Paris.
Le virus de Marburg, "cousin" d'Ebola, touche l'Ouganda
Un scientifique prélève du sang sur des échantillons d'organes contaminés par le virus de Marburg, en 2007. - © Christopher Black - Organisation mondiale de la Santé - AFP
Huit personnes sont sous observation en Ouganda après un cas mortel de fièvre dû au virus de Marburg. De la même famille qu'Ebola, ce virus, qui se transmet aussi par contact avec les fluides corporels, est mortel.
"Huit personnes qui ont été en contact avec le cas mortel de virus de Marburg ont développé des symptômes" de cette fièvre hémorragique, a indiqué le ministère dans un communiqué. "Des mesures sont en train d'être prises pour placer ces cas suspects en quarantaine à titre de prévention", a-t-il ajouté.
Un technicien en radiographie de 30 ans, qui travaillait à l'hôpital Mengo de Kampala, est décédé le 28 septembre de la fièvre hémorragique à virus de Marburg.
Symptômes similaires à ceux d'Ebola
Le virus de Marburg est de la même famille que celui d'Ebola et figure comme lui parmi les agents pathogènes les plus virulents chez l'Homme, selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Comme Ebola, le virus de Marburg se transmet par contact avec les fluides corporels (sang, selles, urine, salive, vomissures, sperme...) d'une personne contaminée. Les personnes contaminées par le virus de Marburg connaissent très rapidement une forte fièvre, suivie de diarrhée, vomissements et hémorragies sévères.
Déjà une épidémie en 2012
Le virus a une période d'incubation de 21 jours. Son taux de létalité varie de 25% à 80% selon les épidémies, d'après l'OMS et il n'existe ni vaccin ni traitement.
En octobre 2012, une épidémie de fièvre à virus de Marburg avait fait une dizaine de morts sur une vingtaine de cas confirmés en Ouganda.
D'après un document déclassifié de l'armée américaine, le nano-argent peut neutraliser le virus Ebola
Cet article est probablement le plus important que j'ai pu rédiger jusqu'ici sur Ebola. Non seulement parce qu'il montre sans équivoque que les américains ne veulent pas que cette épidémie s'arrête, bien au contraire, mais aussi car il peut, je l'espère, sauver des vies.
On nous a menti depuis le départ en affirmant que le virus Ebola ne disposait d'aucun traitement alors qu'un sérum existe depuis près de 40 ans, mais des solutions économiques et efficaces qui valent le coup d'être essayées comme le chlorure de magnésium ou la vitamine C (intraveineuse, éventuellement liposomale) ne sont pas proposées par les autorités de santé préférant des traitements expérimentaux hasardeux et non testés.
Cette présentation déclassifiée produite par l'agence de réduction des menaces (DTRA) du ministère de la défense des Etats-Unis (DOD) et le Centre de lutte contre les armes de destruction massive de l'US Strategic Command (USSTRATCOM) démontre aujourd'hui que le nano-argent peut neutraliser le virus Ebola.
Cet article est probablement le plus important que j'ai pu rédiger jusqu'ici sur Ebola. Non seulement parce qu'il montre sans équivoque que les américains ne veulent pas que cette épidémie s'arrête, bien au contraire, mais aussi car il peut, je l'espère, sauver des vies.
On nous a menti depuis le départ en affirmant que le virus Ebola ne disposait d'aucun traitement alors qu'un sérum existe depuis près de 40 ans, mais des solutions économiques et efficaces qui valent le coup d'être essayées comme le chlorure de magnésium ou la vitamine C (intraveineuse, éventuellement liposomale) ne sont pas proposées par les autorités de santé préférant des traitements expérimentaux hasardeux et non testés.
Cette présentation déclassifiée produite par l'agence de réduction des menaces (DTRA) du ministère de la défense des Etats-Unis (DOD) et le Centre de lutte contre les armes de destruction massive de l'US Strategic Command (USSTRATCOM) démontre aujourd'hui que le nano-argent peut neutraliser le virus Ebola.
Il démontre les effets neutralisants puissants des nanoparticules d'argent contre les virus de la fièvre hémorragique, y compris arénavirus et les filovirus (c'est à dire, le virus Ebola). L'une des principales tâches de la "Defense Threat Reduction Agency" du DOD est d'"anticiper et atténuer les menaces futures longtemps avant qu'elles aient une chance de nuire aux États-Unis et à nos alliés." La présentation a été faite par des chercheurs de la Direction en biotechnologie appliquée, "711e Human performance Wing" de l'Air Force Research Laboratory.
Les chercheurs ont conclu que in vitro, les nanoparticules d'argent neutralisent les virus de fièvres hémorragiques à l'intérieur des cellules en diminuant l'expression des gènes du segment S et en diminuant de façon concomitante la production de virus de descendance. Ils notent que la neutralisation virale se produit au cours des premières phases de la réplication virale, le traitement des nanoparticules d'argent devrait ainsi être administré avant l'infection virale ou dans les premières deux à quatre heures après l'exposition au virus initial.
Cette étude parle d'expériences in vitro dans les premiers stades de contagion. Nous ne savons cependant pas avec certitude si le nano-argent est efficace in vivo et plusieurs jours après la contagion mais ce sont tout de même des résultats très encourageants.
Nous aurions pu en avoir le cœur net mais les autorités ont refusé non seulement d'utiliser, mais carrément d'autoriser l'arrivée d'un colis de 200 bouteilles de nano-silver fourni par le Dr Rima E. Laibow de la Natural Solutions Foundations pour aider les patients de Sierra Leone alors que le président Koroma avait expressément accepté d'essayer le traitement au mois d’Août. Cela montre une fois encore que les américains ne sont pas là bas pour aider, ils sont là pour contrôler le processus de diffusion du virus et veiller à garder la situation sous leur contrôle total car cette souche est utilisée comme une arme biologique. Dès lors, cela serait mal venu qu'une solution d'argent non brevetable pour les labos vienne entacher le business vaccinal à venir.
Le fait qu'ils viennent prêter main forte sur place leur permet également de se donner bonne presse à domicile comme à l'internationale. Qui pourrait croire à première vue que ceux qui ont provoqué cette épidémie seraient les premiers à venir aider sur place? Pourtant, cette stratégie de diversion par l'humanitaire a montré son efficacité dans le passé: pourquoi changer un plan qui a fait ses preuves?
Venons-en à la partie la plus pénible à entendre:
Le virus Ebola est non seulement aéroporté mais sera plus virulent dans un climat froid
Nous avions déjà vu que de fortes suspicions de la nature aéroportée de ce virus avaient été signalées pendant plusieurs années sur le site web de santé Canada qui l'a censuré peu après que l'alerte ait été donnée cette année. Le CDC a également récemment admis qu'être à un mètre ou même dans la même pièce qu'un patient constitue un risque. Cette fois, le docteur Rima E. Laibow a consulté la littérature médicale de l'USAMRIID et elle confirme que le virus est déjà aéroporté. Les informations qu'elle donne sont capitales:
"Ebola et les virus semblables sont plus transmissibles par la transmission aérienne dans des environnements non-tropicaux, c'est pourquoi le nombre de transmission de ce type en l'automne et en hiver dans l'hémisphère Nord rendra la pandémie plus probable et, qu'elle devrait prendre racine ici. Ebola sera plus contagieux, pas moins."
" Les scientifiques nous disent que, dans les tropiques, le virus Ebola se dessèche par la chaleur, est endommagé par l'humidité et stérilisé par le soleil.
Dans les climats froids, écrivent-ils, son profil de transmission par aérosol sera comme celui de la grippe aviaire, une maladie qui se propage par des gouttelettes provoquées par la toux, les éternuements ou le fait de parler."
"L'exposition à une faible dose de quelques particules virales était au moins aussi dangereuse que l'exposition à une forte dose donc 50 unités virales dans l'air causaient la maladie de façon encore plus efficace que 500 unités virales."
"La grippe, même la plus virulente et la plus mortelle, ne peut infecter que les tissus respiratoires, c'est à dire les poumons. Mais Ebola peut infecter tous les types de cellules dans le corps, ce qui explique le fait que toucher des sécrétions contaminées peut transmettre la maladie, même si vous ne mettez pas vos mains dans votre bouche, par exemple. Et d'après ces études et d'autres que j'ai lu, il est clair que le virus est si robuste que même s'il est lyophilisé, il persiste dans l'environnement et est encore capable d'infecter quelqu'un.
Donc, par temps froid, il est aussi facilement propagé par des gouttelettes que la grippe et il persiste dans l'air et sur les surfaces.
Et le gouvernement le sait."
"Vous allez bientôt entendre des déclarations sans aucun sens sur une mutation qui a permis au virus Ebola de devenir transmissible par l'air. Faux. Il peut déjà se transmettre par des gouttelettes dans l'air et d'autres études le montrent clairement."
NB: La préparation du public commence justement à pointer le bout de son nez alors que Le Telegraph sort aujourd'hui un article au nom explicite: " "Ebola pourrait devenir aéroporté": l'Organisation des Nations Unies met en garde contre un «scénario cauchemar» alors que le virus se propage aux États-Unis
MAJ: Le Center for infectious disease research and policy (CIDRAP: le Centre de recherche et de politiques sur les maladies infectieuses de l'université du Minnesota) a également publié un article le 17 Septembre dernier indiquant:
"Nous croyons qu'il y a des preuves scientifiques et épidémiologiques que le virus Ebola a le potentiel pour être transmissible par les particules infectieuses par aérosols à la fois à proximité et à distance des patients infectés, ce qui signifie que les travailleurs de santé doivent porter des respirateurs et non des masques".
"Les points importants sont que des fluides corporels chargés de virus en aérosol peuvent être inhalée pendant qu'une personne se trouve à proximité d'une personne infectée et que toute une gamme de tailles de particules peut être inhalée et déposée dans l'ensemble du tractus respiratoire."
"Etant d'abord sceptique quand au fait que le virus Ebola pourrait être une maladie transmissible par aérosols, nous sommes maintenant convaincus par un examen des données expérimentales et épidémiologiques que cela pourrait être un élément important de transmission de la maladie, en particulier dans les établissements de santé."
"De nombreux fluides corporels, tels que vomissement, la diarrhée, le sang, la salive sont capables de créer des particules d'aérosol inhalables dans le voisinage immédiat d'une personne infectée. La toux a été identifié parmi certains cas à une épidémie à Kikwit, en 1995, dans la République démocratique du Congo, et la toux est connus pour émettre des particules de virus respirable.L'acte de vomissements produit un aérosol et a été impliquée dans la transmission aérienne de virus gastro-intestinaux. En ce qui concerne la diarrhée, même lorsqu'ils sont contenus par des toilettes, la chasse d'eau émet un aérosol chargé pathogène qui se disperse dans l'air."
"Des travaux expérimentaux ont montré que les virus Marburg et Ebola peuvent être isolés à partir de sérums et de culture de tissus à température ambiante jusqu'à 46 jours, mais à la température ambiante aucun virus n'a été récupéré à partir de verre, métal, plastique ou surfaces. Un aérosol (1-3 mcm) de Marburg, virus Ebola, et Reston, à 50% à 55% d'humidité relative et 72 °C, avaient des taux de décroissance biologiques de 3,04%, 3,06%. et 1,55% par minute, respectivement. Ces taux indiquent que la perte de 99% en aérosol infectieux se produirait à 93, 104 et 162 minutes, respectivement."
Cela veut dire qu'un corps contaminé par Ebola peut rester contagieux près de 46 jours et que si une personne infectée tousse, la pièce dans laquelle il se trouve peut être contagieuse pendant près d'une heure et demie. L'article soulève également un point crucial: les services de santé (notamment en Afrique) ne disposent pas de l'équipement adéquat pour traiter les patients dans un stade avancé.
Voilà ce qu'ils devraient porter:
Comme toujours, ces informations vitales ne seront jamais transmise dans les médias de masse donc il appartient à chacun de les diffuser autour de lui car, visiblement, le virus n'a pas l'intention de s'en tenir à l'Afrique et tout cela est prévu depuis longtemps.
P.S: A noter que le nano-argent n'est pas de même nature que l'argent colloïdal. Il semblerait que les particules de nano-silver soient infiniment plus petites ce qui améliorerait l'efficacité de la solution qui pénètre ainsi les membranes des cellules infectées par le virus.