Il n'y a pas que l'Etat Islamique qui a vu des Suisses rejoindre ses rangs, les rebelles aussi. Ainsi en est-il de Johann Cosar qui est né à Saint-Gall. Il a co-fondé dans sa région d'origine une milice pour défendre les minorités chrétiennes.
Les Syriaques se sont organisés tant bien que mal en réponse aux exactions des Djihadistes.
Facebook @Syriac Military Council
L'heure du repas pour les miliciens mais les armes ne sont jamais loin.
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Des miliciens syriaques en place pour s'opposer à l'avancée des Djihadistes
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L'armement est hétéroclite
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Des combattants derrière des sacs de sable observent les mouvements
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Les miliciens manquent de moyens face à la puissance de feu de l'Etat islamique
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Les Syriaques sont aisément reconnaissables avec le tatouage de leur foi.
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Formation et entrainement au maniement des armes
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Formation et entrainement au maniement des armes
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Le fait que l'Etat Islamique et ses exactions agissent comme un aimant pour certaines personnes n'est plus un secret. Si une quarantaine de Suisses a rejoint les rangs des djihadistes, il y en a d'autres qui se battent dans les rangs des minorités chrétiennes pour les défendre.
Johann Cosar est l'un d'entre un, comme il l'explique dans un témoignage diffusé ce jeudi 4 septembre sur la RTS. Il est né à Saint-Gall mais sa famille est originaire du Nord de la Syrie qui regroupe de fortes minorités chrétiennes.
«Beaucoup de fois»
Il y a deux ans, il a quitté la Suisse pour aller défendre ses proches syriaques dans la région. Ils sont une dizaine de Suisses à avoir fait de même.
Johann Cosar a fondé le Syriac Military Council et il prodigue désormais ses connaissances reçue à l'armée suisse comme sergent pour protéger sa famille. Il a déjà tué «beaucoup de fois» comme il le dit mais il ne se bat pas que pour sa foi. «Je défends une terre, une religion, une histoire. Je défends l’humanité et la démocratie», déclare-t-il.
Johann Cosar est l'un d'entre un, comme il l'explique dans un témoignage diffusé ce jeudi 4 septembre sur la RTS. Il est né à Saint-Gall mais sa famille est originaire du Nord de la Syrie qui regroupe de fortes minorités chrétiennes.
«Beaucoup de fois»
Il y a deux ans, il a quitté la Suisse pour aller défendre ses proches syriaques dans la région. Ils sont une dizaine de Suisses à avoir fait de même.
Johann Cosar a fondé le Syriac Military Council et il prodigue désormais ses connaissances reçue à l'armée suisse comme sergent pour protéger sa famille. Il a déjà tué «beaucoup de fois» comme il le dit mais il ne se bat pas que pour sa foi. «Je défends une terre, une religion, une histoire. Je défends l’humanité et la démocratie», déclare-t-il.










