mardi 22 juillet 2014
Vol MH-370 : les faits troublants
- Le Gouvernement Malais a démenti dans un premier temps le fait que l’avion ait été détourné de sa trajectoire vers l’ouest puis qu’il ait volé pendant plusieurs heures après son détournement, ce qui sera reconnu par la suite s’appuyant sur les informations divulguées par la presse américaine.
- Les militaires Malais ont donc laissé filer l’avion délibérément et justifieront ceci deux mois après en révélant que celui-ci avait été considéré comme « ami ».
- Les autorités malaisiennes ont ainsi laissé les recherches se faire en Mer de Chine, à l’est, alors que leurs radars militaires avaient repéré l’avion, à l’ouest.
- Deux personnes montent à bord avec des faux passeports, mais aucune suite n’est donnée.
- Des dizaines de photos satellites venant de pays différents montrent la présence de centaines de débris. Certains ont été déclarés sans lien avec cette affaire. La plupart n’ont jamais été repêchés.
- Le FBI saisit le simulateur de vol du pilote. Le pilote s’entrainait à atterrir sur des pistes courtes, et avait récemment effacé certaines données. Rien ne sera communiqué par la suite sur le sujet.
- Les débris seront, tout d’abord, exclusivement recherchés à la surface de l’eau, le véhicule sous-marin ne devant être utilisé qu’après la découverte des débris de l’avion. Or, il sera finalement mis à l’eau, juste avant l’expiration théorique des batteries des boîtes noires, ce alors même qu’aucun débris n’avait été préalablement été repéré.
- Les autorités Australiennes affirment avoir trouvé des traces de Kérosène, 3 semaines après, alors que le kérosène est parfaitement volatile.
- Un bateau chinois déclare avoir entendu des signaux acoustiques, mais n’a pas enregistré les détections.
- Un bateau australien déclare dans le même temps avoir détecté des signaux sonores, continus, ne pouvant provenir du milieu naturel aquatique. Par la suite, ils seront dits provenir du bateau lui-même.
- Le rapport préliminaire officiel de la Malaisie du 9 avril, publié le 1er Mai 2014, est non précis, succinct et incomplet.
- La société satellite anglaise «Inmarsat» ayant réalisé l’analyse des signaux intermittents appelés «pings» et certifié que l’avion se trouvait bien dans l’océan Indien à l’ouest de l’Australie, ne donne qu’une partie de ses données, et ce, seulement au terme de 12 semaines. Ces analyses ont été contestées par des scientifiques indépendants.
- Le détail du chargement donné lors du rapport préliminaire est totalement incomplet et semble farfelu.
- On parle d’abord de 2000 kg de batteries au lithium puis lorsque des spécialistes s’insurgent on rectifie et on dit que ce n’est que 200 kg, le reste étant des câbles.
- On parle d’un chargement de fruits dont ce n’est pas la saison de récolte.
- On apprend, après un mois de recherche dans différentes parties de l’océan indien , que les signaux acoustiques détectés ne sont pas ceux d’une boîte noire et que les recherches ne se sont pas déroulées au bon endroit. Certains spécialistes avaient souligné dès le départ que les fréquences ne concordaient pas !
- Boeing et Rolls Royce n’ont pas fait un seul communiqué sur le mystère du MH370.
- Aucun Etat n’a donné ses données satellites militaires.