Le ministère russe des Affaires étrangères a envoyé aux chancelleries concernées des invitations à participer à la première réunion du Groupe de contact pour la Syrie, le 20 juin 2012, à Moscou.
Cependant, après le double tir de missiles balistiques intercontinentaux russes, l’OTAN et le CCG ont souhaité manifester leur bonne volonté pour calmer le jeu [1].
La surprise est que l’ordre du jour rédigé par Sergey Lavrov porte en question prioritaire —avant l’arrêt des violences et de l’approvisionnement en armes— l’arrêt immédiat de la guerre médiatique contre la Syrie, c’est-à-dire l’abandon du projet de changement de régime par un coup d’État médiatique [2].