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La Bulgarie ne mène pas de négociations concrètes au sujet d’un déploiement éventuel sur son sol d’éléments du bouclier antimissile américain (ABM), mais même si elle en héberge cela ne sera guère dirigé contre la Russie, a affirmé mercredi Nikolaï Mladenov, chef de la diplomatie bulgare.
"Ce bouclier n’est pas dirigé contre une menace venant de Russie. Au contraire, cette menace qui existe pour nous, existe aussi pour nos amis russes", a déclaré le ministre dans une interview à la chaîne de télévision bulgare bTV.
Et d’ajouter que la Bulgarie ne faisait que participer aux entretiens dans le cadre de l’Otan sur la conception de ce bouclier antimissile
"Jamais des entretiens sur une installation de missiles (en Bulgarie) n’ont eu lieu", a souligné M.Mladenov.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a qualifié dimanche dernier de "surprise" l’intention de la Bulgarie de participer au nouveau projet de défense antimissile des Etats-Unis en Europe et exigé des explications.
Le Premier ministre bulgare Boïko Borissov s’était prononcé la semaine dernière en faveur d’une participation de son pays au bouclier antimissile américain.
Auparavant c’est la Roumanie qui avait accepté d’accueillir des missiles intercepteurs US.
"Ce bouclier n’est pas dirigé contre une menace venant de Russie. Au contraire, cette menace qui existe pour nous, existe aussi pour nos amis russes", a déclaré le ministre dans une interview à la chaîne de télévision bulgare bTV.
Et d’ajouter que la Bulgarie ne faisait que participer aux entretiens dans le cadre de l’Otan sur la conception de ce bouclier antimissile
"Jamais des entretiens sur une installation de missiles (en Bulgarie) n’ont eu lieu", a souligné M.Mladenov.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a qualifié dimanche dernier de "surprise" l’intention de la Bulgarie de participer au nouveau projet de défense antimissile des Etats-Unis en Europe et exigé des explications.
Le Premier ministre bulgare Boïko Borissov s’était prononcé la semaine dernière en faveur d’une participation de son pays au bouclier antimissile américain.
Auparavant c’est la Roumanie qui avait accepté d’accueillir des missiles intercepteurs US.
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RIA Novosti