La bombe à fusion pure

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A la fin des années quatre vingt, quand le Coria de l'université de Rouen avait déclenché une ultime réunion, à propos du contrat sur la suppression des ondes de choc, cinq officiers ingénieurs militaires de la DRET ( Direction des Recherches et Etudes Techniques, devenue DGA ) s'étaient déplacés, accompagnés de l'incontournable polytechnicien Gilbert Payan. Le projet fut vite identifié par eux comme conduisant à un concept de missile de croisière hypersonique.
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Vilnius était un colloque sur le Hautes Puissances Pulsées. Qui en consulterait les minutes verra que leur principale application concerne les railguns, ou accélérateurs MHD de projectiles. Cette technique, actuellement en plein développement, permet d'obtenir des vitesse d'éjection de projectiles dix fois supérieures à celle d'une arme conventionnelle.

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Projectile émergeant d'un railgun.

Test effectué par la Marine Américaine en 2008

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Un intervenant évoqua des essais réalisés sur une balle MHD " à compression de flux ". Selon ce concept on ne tue plus son adversaire en faisant un trou dedans, mais en l'électrocutant à distance, quand le projectile le frappe ( 100.000 volts ). Et le conférencier de conclure :
- Comme ça, on n'a pas à nettoyer les tapis après.....

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Des lecteurs se diront peut-être :
- Mais, sachant cela, pourquoi continuerait-il à figurer dans des colloques de cette spécialité ?
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On pourrait dire : pour y présenter les principes des aérodynes MHD discoïdaux, comme je l'ai fait à Vilnius, installer une " technologie ovnienne " dans les pages de revues à comité de lecture, et pas dans des " revue ufologiques " ( Acta Physica Polonica, juin 2009 ). En sachant que si un jour, si cela n'est pas déjà fait, notre sphère technoscientifique s'intéressait à cette idée ( si cela n'est pas déjà fait, aux USA ) ce serait uniquement dans le but d'applications militaires. L'univers humain est platonicien, se limite à l'espace sublunaire, c'est bien connu. Le reste relève de l'astronomie.

Pour moi ces colloques sont surtout une opportunité de glaner des informations (Brighton 2001, Vinius 2008). Si vous lisez mon dernier livre, vous y trouverez le compte-rendu de la désinformation américaine, concernant les résultats de la Z-machine, preuves à l'appui.

Je pense qu'il est nécessaire que je situe ma position vis à vis de la " MHD française ". Nous avons, à UFO-science, entrepris dès 2007 de remonter des expériences dans de l'air en basse densité, similaires à celles que nous avions menées avec mon collègue et ami Maurice Viton en 1975-1977. C'est plus que la physique amusante, puisque c'est à l'aide d'une telle technologie que j'ai concrétisé par l'expérience ma théorie de l'annihilation de l'instabilité de Vélikhov à l'aide d'un gradient de champ magnétique, résultat qui a été présenté au colloque international de MHD de Moscou en 1983, et évoqué de nouveau au colloque de Vilnius, puis publiée dans la revue à comité de lecture Acta Physica Polonica.

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Pourquoi remonter de telles expériences ? Pour recréer une activité de recherche autour de ce thème ? Non. C'est uniquement à cause du lien avec un mode possible de propulsion des ovnis. A cet effet des expériences de confinement pariétal ont été menées à bien. Le résultat sera présenté au colloque de Brème. Ce phénomène apporte une explication possible à la forme déconcertante, anti-aérodynamique des objets observés, qui présentent angles vifs et concavités.

Que les choses soient bien claires : je ne cherche nullement à développer la MHD en France (traduire " la physique des plasmas froids, bitempératures, magnétisés, à faible nombre de Reynolds magnétique ", qui n'a rien à voir avec la MHD des tokamak ou celle des astrophysiciens). Cela serait peine perdue. La DGA finance quarante laboratoire travaillant " sur les plasmas froids " qui ... ne produisent rien, parce qu'il est simplement impossible de rattraper 30 années de vide complet dans ce domaine. Ce savoir s'est perdu, comme un filet d'eau dans un désert.

Les travaux UFO-science se poursuivent à une allure d'escargot, à temps perdu, dans un ... garage de 18 mètres carrés, pratiquement sans aide technique. Cela serait à refaire, jamais je n'aurais fait acheter ces 5000 euros de matériels. Mais puisque c'est fait, terminons ce programme de recherche. De toute manière, le résultat " qualité de la recherche sur investissements " sera imbattable, les résultats feront matières à publications dans des revues de haut niveau, parce que les concepts théoriques qui sous-tendent ces expériences d'aspect rustique sont sophistiqués. Mais tout cela est sans avenir.

M'adressant à tous ces jeunes qui rêvent de belles expériences, qu'ils soient simple particuliers ou étudiants dans une école, qu'il est inutile d'envisager de créer des " clubs MHD " pour bricoler avec des aimants, sur un coin de table. D'autres rêvent de " lever des fonds ". Même si je disposais de millions d'euros, je ne pourrais rien faire. On ne peut acheter des compétences devenues totalement absentes en France. Cet argent ne servirait strictement à rien. On va s'efforcer de finir ce qui a été commencé, dans ce ... garage de 18 mètres carrés, ce qui fournira publications et ... de belles images pour une émission de télévision, et ça s'arrêtera là.
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Dans la vie, il faut faire des choix sur la façon dont on doit utiliser l'énergie dont on dispose. La mienne n'est pas inépuisable. Je poursuis, pour le moment, mes recherches en physique mathématique et en astrophysique-cosmologie. Je vais sans doute réattaquer avec mon ami Viton le problème du ralentissement des sondes Pioneer, ce qui n'est pas une mince affaire. Du fait de la perte du salaire de ma compagne, je dois par ailleurs rechercher un complément de retraite en nous transformant en éditeurs. Je n'ai donc pas le moindre temps à consacrer à un enseignement de MHD, ou à l'écriture d'un ouvrage sur le sujet. Quand je disparaîtrai, ces recherches disparaîtront avec moi et ... c'est comme ça.

Une formation en MHD représenterait un investissement en temps trop important. Par ailleurs, l'usage que l'on fait de cette technologie, et qui ne fait que s'affirmer d'année en année, m'ôte toute motivation.

Il y a une dizaine de jours un informateur que je considère comme fiable, très liés aux activités de MHD se situant à Tomsk, Sibérie, m'a communiqué l'information comme quoi les Russes auraient réussi le break even avec un générateur à explosif de type DEMG, à disques ( Disk Electromagnetic Generator ).

Faisabilité du breakeven à l'aide d'un Z-pinch

Le break even, ou breakeven est une situation où l'énergie dégagée par la fusion est supérieure à celle injectée, quel que soit le système ( dans le cas d'une compression impulsionelle axisymétrique : l'énergie de compression ).

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J'ai décrit le principe du générateur DEMG, à compression de flux dans l'article que j'avais installé sur mon site en 2006, sur les bases de la MHD Chernyshev qui a tracé les grandes lignes de sa machine au cours du congrès Mégagauss III, 1993. Mais ça n'est qu'en 1999 que les Américains purent voir la bête de près et connaître le détail de son fonctionnement. Rien de ce genre n'avait été imaginé aux Etats-Unis. Voici le dessin qui figure dans la rapport de Los Alamos :

Le DEMG ( générateur explosif à disques ) est constitué par un assemblage de paires de disques concaves, l'ensemble présentant un symétrie de révolution. Le courant circule selon les lignes indiquées en rouge. Celui-ci est initialement fournir par un générateur hélicoïdal, non représenté sur cette figure ( délivrant 6 méga-ampères ). L'établissement de ce courant entraîne l'apparition d'un champ magnétique qui "emplit" entre autre toutes les cavités qui se situent entre ces structures discoïdales concaves. Quand le système est mis à feu les détonateurs, situés sur l'axe de la machine déclenchent des explosions qui se propagent radialement, de manière centrifuge. Au voisinage de l'axe chaque unité discoïdale possède une "protubérance". D'après ce que je comprends, les forces qui compriment latéralement ces éléments discoïdaux propulsent radialement ces protubérances, elles-mêmes discoïdales, de révolution. A mon avis il doit se produire une phénomène analogue à celui de la charge creuse, ce qui accélère le remplissage de la cavité et raccourcit d'autant le "temps de compression du flux". Dans un tel système les disques ont un rayon de 20 cm et à vue de nez une épaisseur cinq fois inférieure, soit 4 cm. Si on table sur des vitesses d'ondes de détonation identiques, Chernyshev s'est débrouillé pour raccourcir le temps de comblement de ces cavités, le temps de compression du flux d'un facteur 25. Le système est par ailleurs doté d'un fusible qui, se vaporisant quand le courant atteint sa valeur maximale délivre le courant au liner en un temps inférieur à la microseconde ( when the current reached a critical value, the fuse melted. The high current was then delivered to the liner in less than a microsecond ). Le courant envoyé dans le liner était prévu pour atteindre 35 méga-ampères mais un léger disfonctionnement imprévu limita celui-ci ) "seulement" 20 méga-ampères.

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Le fait que le break even ait été obtenu à l'aide d'un générateur à disque a une signification très précise. Si le système d'alimentation de la Z-machine américaine est d'un poids qui exclut tout emport dans une bombe, il n'est est pas de même avec le DEMG, qui de plus est miniaturisable, à n'importe quelle échelle. On peut donc considérer cette information comme un événement majeur en matière d'armements, comparable à l'explosion de la première bombe A à Alamogordo, et je pèse mes mots.

Pourquoi ? Parce que système marque la naissance d'une nouvelle espèce de bombes " nucléaires ", à " fusion pure ". Pour déclencher un engin à fusion il n'est plus nécessaire d'utiliser le flux de rayons X délivré par " une petite bombe à fission ", une petite bombe A. Donc, pour entrer dans le club nucléaire il n'est plus nécessaire de passer par une coûteuse et voyant filière d'enrichissement isotopique, par l'acquisition d'uranium, la production de plutonium grâce à un réacteur à neutrons rapides.

Or pour faire détoner une bombe à fission, au plutonium, il est nécessaire de constituer, par implosion d'une coque creuse, la fameuse " masse critique ". En dessous, l'engin ne fonctionne pas. Le " progrès " fait dans cette classe d'armement a été opéré au niveau des explosifs utilisés et de la compression du plutonium (à l'état métallique). On est ainsi passé de mille tonnes d'équivalent TNT à 300 tonnes. Cette puissance est donc la puissance minimale des bombes atomiques actuelles, quelles qu'elle soient. Or la mise à feu de 300 tonnes de TNT est suffisante, non seulement pour ravager une ville de 10.000 habitants, mais pour provoquer l'emport de déchets dans la haute atmosphère, et leur dissémination sur une vaste échelle.

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C'est donc le " gigantisme " de ces engins nucléaires et leur caractère " dommageable pour l'environnement " qui a empêché jusqu'ici leur utilisation et a empêché jusqu'à aujourd'hui l'explosion d'une III° guerre mondiale. Le résultat annoncé par les Russes change la donne drastiquement. Tout, dans le dispositif construit autour d'un générateur DEMG est miniaturisable, y compris à une échelle infime, celle d'une ... balle, par exemple. De plus la compression MHD permet, le résultat de la Z-machine américaine de 2005 l'a montré, de dépasser le milliard de degrés, donc d'envisager le recours à un mélange Bore11 + Hydrogène H1, non neutronigène, ou très faiblement neutronigène. On peut déboucher sur le concept de bombes nucléaires... propres, " respectant l'environnement ".

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Si les Russes ont laissé filtrer cette information, c'est à dessein. Après l'effondrement de l'ex-Union Soviétique et pendant l'ère de l'ivrogne Elstsine, le pays était tombé au plus bas. C'est ce qui a donné aux extrémistes américains cette idée de devenir les maîtres du monde. Confers le document aberrant intitulé " Pour un Nouveau Siècle Américain ", qui n'est pas sans rappeler " .

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le Reich de Mille Ans " d'un autre allumé chronique. Cette info est un signal fort, qui signifie :
- N'espérez pas compter sans nous et prétendre devenir les maîtres du monde, même si vous entourez désormais notre pays par tout un glacis de bases, même si votre budget d'armement est le plus important au monde.
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Les Russes ont aussi récemment tiré un missile à travers la calotte polaire, à partir d'un sous-marin tapis sous les glaces. On sait qu'ils disposent encore d'unités dont la bordée peut à elle seule infliger des dégâts terrible à l'attaquant. Ce sont les sous-marins Typhon.
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Sous-marins russes Typhon : 24 missiles à têtes multiples.
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La flotte des Typhon, comme leurs équivalents américains les Ohio, ne sont pas des sous-marins d'attaque, mais de défense. Ils s'embusquent sous quelques mètres de glace et attendent un ordre de réplique, reçu à l'aide d'une antenne traversant la banquise, indétectables. Cet ordre reçu, ils peuvent tirer leurs 24 missiles à têtes multiples vers des cibles prédésignées, ce qui représente plus de cent têtes nucléaires. Dissuasif. C'est fait pour.

Les tourelles des sous-marins marins nucléaires, et leurs coques, sont conçues pour être assez solides pour être assez solide pour permettre de disloquer une couche de glace de plusieurs mètres d'épaisseur. Quand ces tourelles sont équipées " d'ailerons ", ceux-ci pivotent de 90 ° pour transformer l'ensemble en .. poinçon.

Les Russes ont des missiles de croisière supersoniques qu'ils peuvent tirer à partir de sous-marins comme le Koursk, " tueur de porte-avions ". En matière d'armements, ce sont loin, très loin d'être des manches. En faisant état d'un break even avec un système à fusion pure, utilisant comme énergie de base un simple explosif, ils lancent un signal fort, dont un des aspects est :

Il est devenu simplement inutile de faire la guerre à l'Iran pour conjurer une menace nucléaire

Celles-ci pourra émerger de n'importe quel coin de la planète. Ce système des " bombes nucléaires à fusion pure " est ... proliférant. Le développement et la généralisation de cette technologie, sur laquelle les Américains travaillent également, en désinformant maladroitement ( voir les propos de Matzen, responsable de la Z-machine de Sandia, dans mon livre, et les réactions de Gerold Yonas, d'Ytziak Maron et de Malcom Haines dans mon livre ) est inéluctable.

Quelles seront les conséquences d'une telle avancées technico-scientifique au plan de la géopolitique planétaire ? Je n'en sais pas plus que vous. Mais elles ne peuvent qu'être considérables. La dissémination de telles armes est inéluctable, à brève échéance. Bien sûr, au passage, cette percée ouvre la voie à une fusion aneutronique, non-polluante, constituant une réponse aux besoins de l'humanité en énergie. Mais on connaît le trait fondamental des choix humains :
Les bombes d'abord, l'énergie ensuite

Et Il faudrait stopper ITER et Mégajoule, entre autre ....

A la fin de la dernière conférence que j'avais donnée, un auditeur me disait :
- Mais, que pouvons-nous faire !?

A ces gens j'avais répondu :
- Etes-vous capable de remettre en question vos croyances, vos religions, quand vous en avez une, spécialement celles qui font de votre planète ou de votre lopin de terre le centre de l'univers ? Etes-vous capables de remettre en question vos connaissances, votre science, votre conception des phénomènes appelés vie et conscience ? Etes-vous capables d'imaginer qu'une autre conception de l'univers, de son fonctionnement, de sa logique puisse exister ?

En s'adressant à nos hommes d'église, nos hommes de science, nos politiques, nos militaires, nos journalistes, nos supposés penseurs, il semble que la réponse soit négative, que cette problématique reste à des années lumières de leur pensée, de leur système organisé de croyances. Et si j'en juge par le peu de réaction des lecteurs de mon livre, je crois que ce que j'y présente mettra du temps à faire son chemin.

Et j'avais conclu :
- Vous êtes acculés à penser par vous mêmes, à vous construire votre propre opinion sur les choses du monde, et la première chose à faire pour rendre cela possible est d'éviter que d'autres, les médiamenteurs, le fassent à votre place. Vous savez, maintenant, que les grandes chaînes de télévision, que vos principaux journaux sont entre les mains de groupes financiers et que le journalisme libre n'est plus qu'un mensonge, qu'une illusion. Etes-vous alors capables de vous passer de la drogue dont on vous abreuve, trois heures par jour ? (qui n'est pas sans rappeler le système de conditionnement, la drogue soma et le " cinéma sentant " de l'ouvrage d'Aldous Huxley, le Meilleur des mondes ). Pouvez-vous, en un mot, vous passer de votre chère télévision, de vos magazines de plus en plus people, de vos journaux, ce qui vous obligerait à aller rechercher par vous-même d'autres informations dans la jungle du net ?

Personnellement je ne regarde plus la télévision depuis des années, et je ne m'estime pas pour autant moins informé. Prenez un peu de recul, et pensez un instant à ce que contient un journal télévisé. Quelques " histoires de chiens écrasés ", un meurtre par-ci, un accident par là, une belle catastrophe naturelle. Des annonces de scandales qui resteront sans suite, vous le savez bien. Tout s'amortit, tout s'étouffe dans cette salle des pas perdus.

Question divertissement, achetez vous un lecteur de DVD et constituez une collection de films ou d'émissions. Le choix est vaste. Mais vous savez très bien que la télévision, ou les magazines que vous parcourez distraitement sont des machines " à empêcher de penser ". Les produits très souvent ne sont même pas distrayants. Ils abrutissent, comme du bruit comparé à de la musique. Ces machines sont efficaces. Elles engendrent la passivité, elles anesthésient l'opinion.

En complétant avec les jeux vidéos, elles permettent à l'homme de ne plus faire de différence entre le réel et le virtuel.

Et pourtant, il vous suffit d'un seul geste pour vous affranchir de cette tutelle. Sur votre déclaration d'impôt, vous cochez la case stipulant que vous ne souhaitez plus payer la redevance. Puis vous mettez votre poste à la décharge. Vous verrez, on vit très bien sans.

Faites l'essai. Le monde où vous vivez vous apparaîtra vite différemment.
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J-P Petit