Des services secrets, nous ne savons que les échecs et rarement les succès. Si l'échec provoque l'anathème, l'ingratitude est fille de la victoire. Quand à la gloire, il faut l'oublier, elle est pour les autres...

lundi 5 mai 2003

Les armes secrètes du IIIème Reich

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Sous la pression des événements, les deux dernières années de la seconde guerre mondiale virent éclore un nombre incroyable de projets d'armes nouvelles du côté allemand. Ces armes d'un nouveau type et au potentiel militaire fantastique, touchaient tous les domaines de la guerre - air, mer, terre. Toutes recouraient à des technologies très diverses mais totalement révolutionnaires, bien loin des schémas classiques. Leur conception futuriste, très en avance sur leur époque, montre quelle maîtrise et quel degré de connaissances les ingénieurs et techniciens allemands avaient acquis en 1945 et quelle avance technologique les scientifiques allemands avaient sur leurs homologues soviétiques ou occidentaux.

Le fait est que lorsqu'ils découvrirent ces projets, certains spécialistes américains ou britanniques n'en crurent pas leurs yeux. A partir d'avril 1945, on assista à travers les ruines fumantes du Reich à une course effrénée aux armes secrètes allemandes, les anciens alliés n'hésitant pas à s'approprier et à rapatrier dans le plus grand secret les prototypes, les documents, le matériel et jusqu'au personnel et aux cerveaux qui avaient collaboré à ces divers projets. Ce fut l'opération Paperclip du côté américain, mais les Russes, les Britanniques et les Français firent de même

Certaines de ces armes, comme le missile V1, la fusée V2 ou le chasseur à réaction Messerschmitt Me 262, atteignirent le stade opérationnel et furent engagés sur le théâtre d'opération par Hitler, dans le vain espoir de renverser le sort des armes. D'autres, dont le développement venait d'aboutir, étaient sur le point d'être lancées en série lorsque le Reich s'écroula. La plupart, élaborées trop tardivement, n'avaient pas dépassé le stade expérimental ou n'avaient été produites qu'en nombre très limité, à l'état de prototypes. Certaines n'étaient encore qu'à l'état de projet, ou d'épures en mai 1945

Après l'occupation de l'Allemagne, les ingénieurs alliés purent constater avec effroi que ces armes ne constituaient qu'une première génération d'appareils révolutionnaires, d'autres concepts encore plus audacieux étant en gestation. En prenant connaissance des divers projets existants, ils durent constater que les Allemands possédaient une avance extraordinaire dans un grand nombre de domaines de pointe, comme la recherche aéronautique fondamentale, les hélicoptères, les appareils à voilure en flèche ou à aile delta, ou encore l'utilisation du moteur à réaction et du moteur-fusée à carburant liquide.

Ainsi, en 1945, l'Allemagne était sur le point de faire intervenir tout un arsenal d'armes nouvelles capables de bouleverser la tactique et la stratégie des Alliés. A l'exception de l'arme nucléaire, ces engins nouveaux constituent encore aujourd'hui la base de l'armement des forces conventionnelles de tous les pays du monde. L'apparition du U-Boot type XXI remettait en cause toute la doctrine de défense des convois maritimes ; les missiles téléguidés et l'avion à réaction équipé de roquettes sonnaient le glas de la stratégie des formations compactes de bombardiers. Enfin, les fusées annonçaient la disparition de l'artillerie lourde à longue portée et ouvraient l'ère des bombardements stratégiques intercontinentaux

Dans ces conditions, on comprend mieux la stratégie de Hitler après Stalingrad et son espoir, tant de fois répété, de gagner la guerre grâce aux " armes miracles ". Dans son esprit, 1943 devait être une année de reconversion et d'attente, le temps de permettre le développement de cet arsenal d'armes de représailles. Avec l'aide des formations blindées S.S., les troupes allemandes devaient tenir sur le théâtre méditerranéen et sur le front de l'Est, où elles bénéficiaient d'un vaste capital-espace. 1944 serait l'année décisive ou se jouerait le sort de la guerre. Si le débarquement prévu par les Alliés échouait ou était repoussé, l'Allemagne pourrait alors reprendre l'initiative à l'Est avec toutes ses forces terrestres et déclencher contre les Alliés occidentaux une vaste offensive de grand style sur mer et dans les airs. Après cinq ans de guerre totale, le Reich reprendrait l'initiative sur tous les fronts et imposerait sa domination au continent européen, grâce à son arsenal d' " armes miracles "

C'est l'ensemble de ces armes absolument incroyables, dans lesquelles le Dr. Goebbels et le régime nazi avaient placés leurs derniers espoirs, que nous vous proposons de découvrir dans cette rubrique. Développées plus tôt, produites en plus grand nombre et engagées massivement, elles auraient pu renverser le sort de la guerre et modifier l'avenir du monde tout entier. Par chance, les Alliés atteignirent Berlin avant


Au départ, les croyances et la mythologie nazie

Avant la fin de la première guerre mondiale, fût créé la société secrète, les "FRERES DE LA LUMIERE" qui prit, plus tard, le nom de "SOCIETE VRIL". Dans celle-ci se retrouvèrent aussi "LES MAITRES DE LA PIERRE NOIRE ", une nouvelle fondation des templiers, issue de l'ordre Germanique du Moyen-Age, et les "CHEVALIERS NOIRS" du "SOLEIL NOIR", élite de la Société Thulé et des SS.

Dans ces différentes sociétés se trouvait quasiment tous les grands responsables nazis et beaucoup de scientifiques, des sommités dans tous les domaines. Cela donna une ligne directrice (un commandement hiérarchisé) et un but idéologique (la motivation de réussir), qui a donné un élan à cette entreprise démesurée (comme on le verra plus loin).

D'après certains chercheurs, les nazis auraient eu connaissance d'un savoir secret, non seulement par des contacts télépathiques avec des extra-terrestres leur fournissant les plans de construction, mais aussi par l'étude de la d'une soucoupe non terrestre qui se serait abattue en Forêt Noire en 1936. Mais il n'y a aucune preuve de cet événenement ni de témoins oculaires qui ont révélés quoi que ce soit à ce sujet. Il semble que cela fasse partie du folklore "ésotérique".

La découvertes de ces connaissances et en fait beaucoup plus concrète et "classique" que l'on pourrait le croire. Même si les nazis avaient en effet une très forte attirance pour tout ce qui a trait à "l'énergie du vril". Une énergie qui permettrait de faire vivre l'homme en harmonie avec la nature et qui serait détenue par les habitants d'un monde souterrain, "l'Agharta". C'est par cette "mythologie" germanique liée à l'idéologie nazie, que dans l'esprit des hauts dignitaires du troisième Reich, et surtout de Hitler, la recherche vers des technologies innovantes et des énergies inconnues furent entreprises.

Les débuts de la recherche sur les engins à intragravitation.

La recherche pour le développement des technologies de propulsion à antigravitation était entièrement aux mains des SS. Le Schutzstaffel ou "escadron de production" était le responsable du projet dans son ensemble. Malgré la grandeur de la tâche et le nombre de personnes impliquées, qu'ils soient militaires, ingénieurs ou scientifiques, les noms des principaux responsables sont peu connus, même concernant l'identité des généraux liés à l'affaire. La majorité des archives et documents furent perdus ou détruits à cause de l'avance allié en 1945. Mais la principale cause du manque d'informations entourant ces recherches, c'est bien le secret absolue dont les SS ont sût faire preuve tout au long de leurs travaux. Car la SS était un ordre tellement important qu'il disposait de moyens et d'une autonomie qui leur garantissait un anonymat quasiment assuré, concernant les recherches cruciales stratégiques, qui devaient assurées la victoire au Reich.

En matière de recherche et d'armement il existait déjà le Heereswaffenambt, "Office militaire des armes. Et l'organisation civile Reichsforschungsrat, "Conseil de recherche du Reich". Mais pour mener à bien son entreprise, par rapport à eux, le Schtzstaffel possédait plusieurs avantages. Avec la machine de guerre nazie, la masse des travailleurs forcés, que se soit dans les camps de concentration ou de travail, ou bien grâce au S.T.O. (service du travail obligatoire), la main-d'oeuvre ne manquait pas en Allemagne.

Mais les SS disposaient de leur propres travailleurs, pour lesquels ils n'avaient de compte à rendre à personne. De quelques origines qu'ils viennent ou de quelles catégories ils fussent, ces travailleurs en contact avec des projets secrets sensibles, étaient appelés Gehemnisträger, "porteurs d'informations secrètes", et étaient totalement coupés du monde extérieur.
De plus la SS avait son propre budget. Ils était, financièrement parlant, totalement indépendant du système officiel, le "ministère du Reich pour l'armement et la production de guerre", d'Albert SPEER.

En fait, au lieu d'être centralisé, (comme par exemple le "projet Manhattan" Américain, sur la recherche de la bombe atomique, pour comparer avec quelque chose d'aussi secret) le système des SS était organisé différemment. Un groupe ou une organisation pouvait très bien, d'elle-même, faire des recherches dans tel ou tel domaines, sans que les autres ne le sache. C'est à cause de cette recherche "compartimentée", que plusieurs projets restèrent secrets, même après la guerre.

On peut dire que les SS développèrent leur "état dans l'état", pour se livrer à leur recherche. Et ce, dans le plus grand secret. A part Hitler et quelques privilégiés, seulement les membres du projet étaient au courant, personne d'autre.

Les différentes recherches menées au cour de la guerre.

Il y avait bien sûr, c'est le sujet qui nous intéresse ici, la propulsion à antigravitation. Le projet avait le nom de "RWS-1" et il était tellement important qu'il reçu une classification unique, il était qualifié de "kreigsentscheidend" (primordial pour la guerre). Il était basé en Pologne (Silésie). Plusieurs prisonniers du camps de concentration de Gross-Rosen furent utilisé, avec un "Kommando" assigné à différentes tâches liées aux expériences. Et aussi comme cobayes, pour voir les effets du moteur sur les humains.

Les effets secondaires de ce moteur était nombreux: Un bruit "comme des abeilles dans une ruche", (il est à noter que lors d'apparitions d'ovnis, lorsque le témoins est assez prés, il entend souvent comme un bourdonnement); Une surtension dans le réseau électrique 220 Volts (qui faisait griller les ampoules) dans un rayon de plus de cent mètres; une phosphorescence bleuté ainsi qu'un puissant champs magnétique.

Les effets sur les individus étaient divers: maux de tête, goût métallique dans la bouche, troubles du sommeil, de l'équilibre et de la mémoire. Il fallut beaucoup de temps pour limiter et minimiser au maximum ces effets indésirables. Mais il y eu des effets qui provoquèrent des décès parmi des scientifiques. Donc, la première chose fût de supprimer totalement ces effets. (Sur les plantes, le moteur provoqué la formation d'une substance cristalline. Et il est déjà arrivé lors d'apparition d'ovnis, que l'on voit tomber du ciel ce que l'on appelle des "cheveux d'anges", c'est comme de longs filaments fins et très fragiles).

Ce projet était dirigé par le professeur Walter GERLACH, nommé directeur scientifique. Il était épaulé par les professeurs THIRRING et Pascual JORDAN.

En Tchécoslovaquie, dans le protectorat de Bohème et de Moravie, les SS étudiaient aussi un système de propulsion à énergie nucléaire, à Pilsen.

Le responsable de l'ensemble des projets était le SS-Gruppenführer KAMMLER. Son second était le SS-Gruppenführer Otto SCWAB, qui dirigeait l'Amtsgruppe VIII OU "Amt VIII-FEP", (Département de l'armement). D'autres officiers sont connus, comme le SS-Gruppenführer Emil MAZUW et le SS-Brigadeführer Heinrich GARTNER. Mais même si nous savons qu'ils étaient liés au projet, car leur nom apparaissent dans certaines archives, nous ne connaissons pas le rôle qu'ils ont joués dans cette affaire.

Mais connaissant le degré de secret et l'importance de ces recherches, les officiers responsables étaient tous des officiers supérieurs.

Des recherches qui portèrent leurs fruits.

La première soucoupe Allemande à voir le jour était la RFZ-1. Son premier vol fut aussi le dernier, elle s'éleva jusqu'à environ 60m. Mais le système de guidage s'avéra inefficace. C'est avec peine que le pilote réussit à la poser au sol, puis à s'en échapper. L'appareil se mit à tourner comme une toupie avant de capoter et d'être mis en pièces. C'était la fin du prototype RFZ-1, mais le début des engins volants VRIL.

Son successeur, le RFZ-2, avait une propulsion Vril et un "pilotage à impulsion magnétique". Son diamètre était de 5m et ses caractéristiques étaient les suivantes : les contours de l'appareil s'estompaient quand il prenait de la vitesse, et il s'illuminait de différentes couleurs. Selon la force de propulsion, il devenait rouge, orange, jaune, vert, blanc, bleu ou violet. Intéressant, mais pas terrible comme camouflage. Il fallait remédier à cela.

Il ne pouvait effectuer des changements de direction que de 90°, 45° ou 22.5°. Cela demandait donc une certaine maîtrise. Pas évidente pour des combats aériens contre des chasseurs conventionnels. De plus, l'installation de l'armement pausait problème. Il fût donc délaissé l'idée de l'utiliser comme chasseur et les recherches se poursuivirent.

Après le RFZ-2, ce fût le VRIL I, disque volant qui vola au début de l'année 1944. Il avait 11.5m de diamètre, possédait une "propulsion à lévitation Schumann" et un "pilotage par impulsion à champ magnétique". Donc aussi maniable qu'un chasseur classique, mais avec les avantages des "virages en épingle à cheveux" et la possibilité de faire du "sur place", en plus. Il atteignait des vitesses de 2.900 à 12.000km/h, pouvait accomplir en pleine vitesse des changements de vol à angle droit sans préjudice pour le pilote (pas la sensation des G). Plus libre en figures de vols que le RFZ-2. On construisit plusieurs exemplaires du Vril I. Surtout pour avoir des prototypes à disposition pour continuer les recherches.


Les déclinaisons de la série "Vril" se poursuivit avec plusieurs autres prototypes. Ils gardaient en fait les mêmes caractéristique au niveau de la propulsion, mais ils étaient beaucoup plus grand. L'objectif était "plus gros et mieux armé". Les deux les plus prometteurs furent le Vril 7 et le Vril 8 "ODIN". Ces deux modèles subirent toutes sortes de modifications au cour des essais. Ajout d'armes diverses, train d'atterrissage à trois et quatre pieds...etc.

Après de nombreuses tentatives de styles et de formes de soucoupes envisagées, ils trouvèrent la solution. Et c'est de là que découlèrent par la suite, tous les autres projets, beaucoup plus fiables.

Le projet RFZ-7 fût le bon compromit pour une soucoupe performante et l'embarquement d'armement plus "lourd", que les modèles précédents. Il était en effet équipé d'un canon sur tourelle dans sa partie inférieur. La maniabilité était accrue, de même que le confort du pilote. (Notez, pour l'anectode, qu'avec le canon du dessous en moins, cette soucoupe ressemblerait beaucoup à la celle de la série "les envahisseurs". Une preuve que les américains avaient connaissance de l'existence de cette soucoupe ?).

Fin 1944 décolla un nouveau prototype. C'était une soucoupe équipée d'armes moyennement lourdes qui porta le nom de "HAUNEBU I". Elle avait un équipage composé de huit hommes, avait 25m de diamètre, sa vitesse au départ était de 4.800km/h pour atteindre, plus tard, jusqu'à 17.000km/h.

Malgré la technologie à antigravitation, les chercheurs ne délaissaient pas pour autant les nouveaux moteurs à réaction, inventés pour le nouveau Messerschmitt 262, le premier chasseur à réaction. Le 14 févier 1944, on testa à Peenemünde l'hélicoptère supersonique construit par Schriever et Habelmohl sous le nom de projet V-7, qui était équipé de douze turbopropulseurs BMW 028. Sa vitesse de montée à la verticale était de 800m à la minute, il atteignait une hauteur de 24.200m et sa vitesse en vol horizontal était de 2.200km/h. Il ne fût, cependant, jamais utilisé car Peenemünde fut bombardé en 1944 et malgré son transfert à Prague il s'avéra inutile, puisque cette ville fût par la suite occupée par les Américains et les Russes.

Fin 1944, le "HAUNEBU II" était également fin prêt. Son diamètre variait de 26 à 32m, sa hauteur était de 9 à 11m. Il pouvait transporter un équipage de 9 à 20 personnes, Propulsé par un tachyonateur Thulé, il atteignait dans la périphérie terrestre 6.000km/h. Il était apte à se déplacer dans l'espace et avait une autonomie de 55 heures de vol. Elle était équipée de deux "canons à rayons forts" (KSK) de 60mm, montés sur une tourelle rotative.

Parallèlement à ces derniers, on lança même le projet d'un astronef en forme de cigare qui devait être construit dans les chantiers de Zeppelin, on l'appela "ANDROMEDA". D'une longueur de 139 mètres, Il devait transporter plusieurs soucoupes pour des vols de longue durée. Il n'exista que sur le papier.

On travailla aussi à la "HAUNEBU III", impressionnante entre toutes avec ses 71m de diamètre. Il n'y a pas de preuves (photos ou témoignages) que cette exemplaire a bien voler. On parle qu'un décollage qui aurait était filmé, on a jamais vu ce film. Mais il existait un prototype. Il pouvait transporter 32 personnes, son autonomie en vol était de plus de huit semaines et il devait atteindre une vitesse d'au moins 7.000km/h.

Continuant sur leur lancé, les chercheurs imaginèrent une soucoupe gigantesque, la "HAUNEBU IV". Avec une longueur de 120 mètres et un équipage de 60 hommes pour la manoeuvrer, elle aurait pût en outre embarquer deux compagnies entières de combat. Mais la fin de la guerre arriva et cette soucoupe resta simplement à l'état de plans.

Les autres appareils aériens (à antigravitation) qui furent utilisés par les Allemands.

Les "Foo Fighter"

Des documents mentionnent aussi l'existence de ce qu'on appelait les "FOO-FIGHTERS" (les boules de feu). L'O.S.S. (Office of Strategic Services, services secrets américains) et le S.O.E. (Special Operations Executive, les services secrets britanniques) étaient déjà au courant, en 1944, de l'emploi de tels objets volants mais ils ne les apprécièrent pas à leur juste valeur. Ces sphères furent conçues par le bureau d'études SS-E-IV à Wiener Neustadt. C'était des sondes volantes sans équipage qui devaient perturber le système d'allumage des avions ennemis. Elles ne suivaient que les avions alliés, en se calant simplement sur leur fréquence radio. Et elles émettaient un champs électro-magnétique. Mais le sabotage par coupure de contact ne fonctionna jamais parfaitement. Mais ils la continuèrent, comme "arme psychologique", pour déstabiliser les pilotes alliés. Il a souvent était dit que c'était des engins inconnus qui s'attaquaient à tous les avions, c'est faux. Ces sphères ne s'intéressaient qu'aux avions alliés. Et pour cause. Elles étaient fabriquées pour ça. On ne connait pas bien leur technologie, mais c'était bien une invention Allemande.

Beaucoup de pilotes des forces alliés pendant le Deuxième Guerre mondiale, racontèrent que les foo-fighters étaient parfois gris métallisés ou rouge orange, qu'ils s'approchaient très prés des avions et qu'ils leur "collaient littéralement au train". Il n'était pas possible de se débarrasser d'eux, même lorsqu'on leur tirait dessus.

Récapitulatif des différents types de soucoupes inventées par l'Allemagne.


Les différents projets étaient composés de plusieurs séries de "RFR", "VRIL", puis "HAUNEBU". jusqu'au début 1945. Voici ceux pour lesquelles nous avons des photographies et des renseignements:

La RFZ-1, le prototype de base, il "essuya les plâtres".
La RFZ-2, plus performant, mais il y avait encore beaucoup de choses à améliorer.
La RFZ-7, le modèle qui préfigurait les soucoupes "HAUNEBU", de par sa forme.

Le VRIL 1, le premier modèle fiable, dirons-nous.
Le VRIL 7 (à ne pas confondre avec le V-7),
Le VRIL 8,

La HAUNEBU I, 25m de diamètre, existait en deux exemplaires, (vitesse en vol d'environ 4.800km/h).
La HAUNEBU II, 32m de diamètre, existait en sept exemplaires, (vitesse en vol d'environ 6.000km/h).
Il était, en fait, prévu de construire des Haunebu II en série. Une offre aurait été lancée auprès des firmes d'avions Dornier et Junkers. Fin mars 1945, Dornier décrocha le contrat. L'appellation officielle de ces soucoupes volantes devait être DO-STRA (avions STRAtosphère DOrnier).
La HAUNEBU III, 71m de diamètre, construit en un seul exemplaire. Vol probable mais pas certain.
La HAUNEBU IV, n'exista que sur le papier.

L'ANDROMEDA, astronef de 139m qui pouvait recevoir un Haunebu II, deux VRIL I et deux VRIL II, resta à l'état de projet.

Le V-7, qui malgré sa forme de soucoupe, n'utilise pas la propulsion à antigravité, mais des turbo-réacteurs conventionnels. En fait, il fût le premier hélicoptère à réaction de l'histoire.

Deux témoignages de français ayant servi dans l'armée allemande.

Voilà deux témoignages qui ont étaient fait à Jean-Marc ROEDER, Docteur en physique et spécialiste de l'antigravitation, suite à une conférence sur les soucoupes volantes nazies:

"Il y a environ deux ans, à la fin d'une petite conférence que je donnais au Lion's club de Strasbourg sur les soucoupes nazies, deux messieurs très âgés vinrent me trouver. Le premier m'expliqua que, alsacien enrôlé de force dans la wermacht, il avait observé une soucoupe de couleur rougeâtre survolant sa position à basse altitude (environ 60 mètres) lors de la bataille de Koursk sur le front russe. Il estimait la taille de l'engin à environ 20 à 30 mètres de diamètre. Il m'affirma aussi que la soucoupe qu'il avait vue ressemblait à s'y méprendre à un des modèles de Vril dont j'avais montré les photos durant la conférence. De plus, l'officier commandant leur position d'artillerie leur dit de ne pas s'inquiéter car il s'agissait d'une nouvelle arme de vengeance ultrasecrète testée sur le front. L'autre monsieur, alsacien engagé volontaire dans les Waffen SS, me donna un témoignage encore plus impressionnant. Il m'expliqua que, alors qu'il était basé à Augsbourg en 1944, il fut convoqué avec une vingtaine de ses camarades par son commandant S.S. Le commandant leur annonça qu'ils se rendraient le jour même à l'aéroport militaire d'Augsbourg pour sécuriser celui-ci durant un test ultra secret. Il leur précisa aussi que la moindre révélation sur ce qu'ils verraient serait sanctionnée par une exécution immédiate. Le témoin m'expliqua qu'il vit sortir d'un hangar, à 100m de sa position, une soucoupe d'environ trente mètres de diamètre et quinze mètre de hauteur, en forme de cloche et surmontée d'un petit dôme. Elle émettait un faible sifflement ainsi qu'un bourdonnement d'abeilles. L'engin semblait flotter à deux mètres du sol en oscillant lentement. Il se dirigea lentement vers la piste de décollage puis s'éleva doucement verticalement jusqu'à cent mètres d'altitude en oscillant comme une feuille morte. Détail intéressant, l'engin de couleur noire devint lumineux en s'élevant, passant d'une luminosité bleue électrique à une couleur rouge grenat sur le côté et orange vif sous le dessous. Il accéléra ensuite à une vitesse foudroyante et disparu à l'horizon en deux seconde en émettant un "son d'orgue". L'engin réapparu dix minute plus tard au dessus du hangar et chuta en feuille morte devant celui-ci avant de se plaquer au sol avec un bruit métallique sourd. Dès l'atterrissage, le témoin et ses camarades furent immédiatement rembarqués en camion vers leur caserne et ne purent approcher le prototype. Bien sûr, il ne s'agit que d'un témoignage qui n'a pas valeur de preuve mais il m'a parut sincère, d'autant plus que cet ancien combattant avait les larmes aux yeux en me racontant son aventure. Il me remercia même en m'affirmant qu'il attendait depuis cette époque de comprendre ce qu'il avait vu. Je pense que ces témoins ont vu le prototype antigravitationnel Vril 8 "Odin"."

Que sont devenue les soucoupes après la guerre ?

On ne peut exclure une production en série d'un nombre limité du modèle Haunebu I et II.
Certains disent qu'une partie des engins ont été coulés dans le lac "Mondsee" en Haute-Autriche. D'autres pensent qu'ils auraient été emmenés en Amérique du Sud, ou dans des bases de l'Antarctique. (Voir plus bas dans l'article). Ou bien qu'ils furent transportés en pièces détachées et entreposés dans différents endroits secrets de par le monde.

En tous cas, une chose est sûre, si les alliés ont récupéré des soucoupes volantes nazies, et bien ce sont les Soviétiques qui les ont découvertes et eu en leur possession. En effet, ce sont eux qui ont occupé les territoires où se passaient toute la recherche et la fabrication. Donc, les Soviétiques ont certainement mit la mains sur des plans, des éléments de soucoupes, voire des soucoupes entières, prototypes ou constructions de série.

Les Américains, de leur côté, ont forcèment eu vent de ces recherches, puisqu'ils rapatrièrent vers les Etats-Unis la majorité des savants Allemands. Et pas seulement dans le domaine de l'aéronautique ou militaire, mais aussi des médecins, des chirurgiens, des neurologues...etc. (Et bien sûr les résultats de leurs expériences pratiqués sur des cobayes humains dans les camps).

Pourquoi les Allemands n'ont pas utiliser les soucoupes pendant la guerre ?

Tout le monde se pose la question. Et bien la réponse est simple, pour mettre fin à la guerre, comme ce qu'on fait les américains, il fallait pouvoir frapper fort avec une arme terrible et choquer les esprits. Et les Allemands, étaient "à deux doigts" d'avoir la bombe atomique, mais ils ne l'avaient pas encore. Et ce n'était pas le tout d'avoir la bombe, il fallait la transporter au-delà de l'atlantique. S'ils avaient frappé Londres, les américains auraient sûrement lancé la bombe sur Berlin, Munich ou Hambourg en représaille. Il aurait fallut avoir les moyens de frapper partout en même temps. Et les Allemands n'avez pas de bombardiers à long rayon d'action (Comme les B-29 américains par exemple).

Pour aller bombarder New-York ou Washington, il leur fallait un bombardier puissant, fiable et rapide. Ce fût les soucoupes HAUNEBU qui furent choisies, mais elles fûrent misent au point trop tard. Tous les prototypes, commencer petit, puis faire des modèles plus grands, et ensuite inventer un modèle de soucoupe "bombardier" (Surtout quand on voit la taille de la bombe atomique américaine, imaginé la taille qu'aurait eu la soucoupe!), tout ça prit trop de temps. Et la bombe atomique Allemande n'était pas prête non plus.

De plus, pour avoir des soucoupes en grand nombre pour faire des attaques aériennes massives, il faut une capacité de construction en série énorme. Et suite à l'avancée allié, qui occupée de plus en plus de terrains, ils ne l'avaient plus. Sans parler des matières premières, dont certaines commençaient à faire cruellement défaut à la fin de la guerre. Pour fabriquer quelques modèles ou des prototypes, c'était faisable, mais pas pour une fabrication en masse. Voilà pourquoi.
Sans parler que ce n'est pas le tout d'avoir des soucoupes, encore faut-il des équipages. Parce que, alors qu'un pilote suffisait pour les chasseurs classiques, il fallait un équipage entier de plusieurs hommes par soucoupe. Et les équipages, ils auraient fallut pouvoir les former. (Pour les chasseurs, ils avaient déjà du mal à trouver des pilotes à cause des pertes, alors former des équipages entiers pour apprendre à piloter des soucoupes... Quand on voit ce qu'était la situation dans l'Allemagne de 1945).

Comparont par exemple avec le Messerschmitt 262, qui arriva sur le théatre d'opération européen en 1944, et qui lui prit bien part aux combats. Et bien, il n'y eu qu'un seul groupe de chasse équipé de ces appareils ! Un seul ! Ils prirent comme pilotes pour ce groupe les plus grands as de la Luftwaffe.

Les scientifiques et ingénieurs furent récupérés en majorité par les américains.

En mars 1946, le président Truman fit en sorte de rassembler les savants allemand pour que les Etat-Unis puissent expérimenter leurs avancés technologiques à leur compte. Des chercheurs allemands furent emmenés dans le cadre de l'opération "Paperclip" (opération trombone). S'y trouvait, entre autres, VIKTOR SCHAUBERGER, WERNER VON BRAUN, MENGELE,...

Un refuge dans les bases de l'antarctique?

En 1938, le porte-avion “NEUES SCHWABENLAND” embarqua une expédition vers l’Antarctique. Arrivé à l’endroit prévu, situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec des lacs et des montagnes, bordée au nord par l’Océan Atlantique, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés qu’ils baptisèrent “NEUES SCHWABENLAND”. Appellation géographique figurant toujours sur les atlas sous le nom anglicisé de NEW SCHWABENLAND.
Donc, avant même le début de la seconde guerre, les Allemand disposaient d'une base permanente au pôle sud.

Des flottilles entières de sous-marins firent route vers ce territoire et sûrement aussi des navires. Y faisant escale tout au long de la guerre et un certain nombre restèrent sur place. Car nul ne les revit. Les marines Alliés, en particulier celles de l'US-Navy et de la Royal-Navy ont estimées, après avoir dressé un inventaire de la flotte sous-marine de la Kriegsmarine depuis le début de la guerre, et avoir comptabilisé les pertes réelles, ont estimés qu’une bonne centaines d’unités, les plus récentes en technologie, les U-21 et U-23, avaient mystérieusement disparues. Elles n'avaient était ni coulées en opérations, ni sabordées par leurs équipages, ni arraisonnées par les forces Alliées. Personne ne sait où sont passés tous ces sous-marins !

On peut penser que ces sous-marins ne partaient pas à vide, mais avec un équipage et des passagers constitués de techniciens spécialisés, fuyant sur ordres l’occupation alliée en Europe après ou très peu de temps avant la défaite. Du matériel sophistiqué fût débarqué à la base du Neu-Schwabenland, et aussi certainement des éléments de disques volants en pièces détachées ou tout au moins tous les plans et documents techniques permettant de les construire y furent surement mis à l’abri.

Dernièrement, on a repéré dans l'Atlantique un sous-marin Allemand qui, (cela a était vérifié) contient plusieurs centaines de kilos de mercure. (C'est d'ailleurs à cause d'une fuite et du problème d'une éventuelle pollution, qu'on en a entendu parler). Il devait atteindre le Japon. Et nous le savons, le mercure entre dans la fabrication du moteur des soucoupes de type Hanaubu. Cela veut-il dire que certaines technologies ont étaient envoyées aussi vers le Japon, pour aider ces derniers à gagner la guerre ou simplement pour les y cacher? l'Antarctique n'était peut-être pas le seul refuge du savoir avancé des nazis.

Outre le territoire antarctique du Neu Swchabenland, il existerait d’autres territoires à travers la monde où des colonies perpétueraient la survie du régime nazi, avec d’anciens SS à leur tête, dans des camps parfaitement organisés dont le plus important serait situé en Argentine sur un territoire de 16.000 km carrés, acheté avant la fin de la seconde guerre mondiale, sur les bords du fleuve Limay à 2.500 km au sud de l’équateur.

Une autre encore, pourrait se situait dans le labyrinthe de la chaine de montagnes de l’Himalaya. Pourquoi les forces Chinoises ont-elles tenues à occuper à tout prix le Tibet, malgré le peu d’importance stratégique de ce territoire? Ou bien en d’autres endroits. Soigneusement enterrées dans certaines zones souterraines de notre planète où séjourneraient toujours les membres survivants et leurs descendants.

Survivance sous la forme d'organisations nazies réparties dans quelques bases secrètes, installées de longue date dans certaines contrées. Il était facile, sous une forme extrêmement réduite (microfilms), de transporter tous les plans, cahiers et autres protocoles de fabrication de ces engins volants déjà utilisés auparavant, sans oublier les projets non encore mis en chantier. Ces hommes embarqués à bord de sous-marins, bénéficiant également de techniques de propulsion très en avance sur celle de l’époque et équipés d’un système de récupération d’oxygène pouvant naviguer sous la surface durant plusieurs mois sans se faire repérer vers, entre autres, la base du NEU SCHWABENLAND en Antarctique. Il est donc possible d’imaginer la possibilité que, de mai 1945 à fin 1946, les techniciens et les spécialistes de la base de NEU SCHWABENLAND, pouvaient travailler activement au remontage des engins. Et peut-être aussi, à en élaborer d’autres. Personne ne sait ce qui a pût être stocké et emmagasiné auparavant comme matériel, machines-outils et l'étendue des constructions.

Dans les années cinquante, un membres de l'ambassade de France à Buenos Aire, se promenant un jour sur le port, eu la surprise de voir un bateau battre pavillon nazi! Oui, vous avez bien lu, c'était le drapeau à croix gammée. Il s'approcha, et discuta un peu avec des marins du navires qui prenaient l'air sur la jetée. Ces derniers parlaient Allemand. Ayant était officier pendant la guerre, il connaissait la langue et put leur parler. Ils dirent qu'ils étaient venus pour se ravitailler. Et quand il leur demanda d'où ils venaient, ils répondirent le plus sérieusement du monde, qu'ils étaient basé au Pôle Sud! Le lendemain, lorsqu'il revint au même endroit, le bateau était repartit.

Le conflit terminé, l’attention des Alliés se portait vers d’autres préoccupations. Plutôt que de chercher à investir des bases fantômes, pour la plupart très mal localisées. Alors, pourquoi avoir soudain, tout juste un an après la fin de la guerre, décidé d'une expédition en Antarctique?
Les Américains connaissaient bien sûr l'existence de la base Allemande, mais s'ils décidèrent d'intervenir, "militairement", avec une action de grande envergure, on peut penser qu'ils détenaient d'autres renseignements.

Peut-être pensaient-ils avoir à faire à de simples constructions et de petites installations classiques. Et quand ils se rendirent compte qu'il s'agissait en fait d'une base de grande envergure, avec un armement perfectionné, ont-ils voulut mettre hors d'état de nuire d'éventuel survivants de l'idéologie nazie?

De plus, n'oublions pas qu'Hitler n'est pas mort dans son bunker en 1945, et ils le savaient, tout comme les russes. Pensaient-ils y trouver le dirigeant nazi, et du même coup mettre la mains sur des secrets technologiques et scientifiques qu'ils n'avaient pas trouvé lors de l'occupation de l'Allemagne, mais dont ils connaissaient l'existence par tous les savants évacué d'Europe grâce à l'opération "Paperclip"?

A défaut d'être la vérité sûr et certaine, c'est une hypothèse plausible.


La campagne oubliée de la "guerre de l'Antarctique".

En 1946, le commandement allié confia la responsabilité d’une opération aéronavale à l’amiral Richard Byrd. Ce dernier avait déjà effectué plusieurs vols de reconnaissance au pôle nord et au pôle sud, organisant et participant à plusieurs missions aériennes dans les zone polaires en 1929, 1934 et 1939.

L’Amiral Byrd prépara l’invasion avec des forces américaines, anglaises et russes (et certainement d’autres nations) : l'opération "Highjump".

Une opération strictement militaire, mais qui était couverte par l'argument "scientifique" selon les sources officiels. Pour une opération "scientifique", les moyens étaient plutôt "démesurés". Qu'on en juge:

- 2 brise glace: le USCGC NORTHWIND et le USS BURTON ISLAND
- 2 navires citerne: le USS CACAPON et le USS CANISTEO
- 2 porte-avions: le USS PHILIPPINES SEA et USS CURRITUCK
- 2 navires cargo de soutien: le USS YANCEY et le USS MERRICK
- 2 destroyers: le USS HENDERSON et le USS BROWNSON,
- 1 sous-marin : le USS SENNET
- 1 navire catapulteur : le USS PINE-ISLAND
- 6500 hommes américains anglais et soviétiques, etc.
Quand même, ça fait beaucoup.

Une partie de l’armada quitta la base US de Norfolk en Virginie le 2 Décembre 1946,pour être rejointe par deux autres groupes d’unités vers des bases de l’Antarctique prévues à l’avance, mais ayant en fait pour objectif , la base de NEU SCHWABENLAND. Après avoir installé un camp de base sur une zone centrale à Little America, les zones Est et Ouest étant couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13 Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif commencèrent. Mais la perte d’avions et aussi après avoir constaté que les occupants de Neu Schwabenland, disposant d’une telle supériorité technologique inattendue, seraient invincibles face à la logistique militaire des américains et de leurs alliés du moment, le 3 Mars 1947, ordre fut donné à toute l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner Norfolk.
La campagne se solda par un fiasco sur toute la ligne. 1500 morts chez les alliés et une perte de matériel énorme. De retour aux Etats-Unis, Richard Byrd dira dans une conférence de presse le 5 mars 1947 que "la menace la plus grande vient maintenant du pôle sud car ils ont observés des engins volants pouvant atteindre des vitesses impressionnantes !"

Le 5 mars 1947, le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de l'expédition, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, "El MERCURIO", une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle ce dernier déclara en substance: "C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre, il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre". Il laissa aussi entendre: "Qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait d’une technologie supérieure". Rappelons que ces événements se sont passés en 1947.

Ce à quoi cette expédition fut confrontée reste encore un mystère. A t-elle eu a affronter des survivants nazis et leurs soucoupes volantes? Ou ont-ils découvert la capacité de combats des habitants de la "terre creuse", appelés "hyperboréens" et que l'amiral BYRD découvrit lors de précédentes expéditions avant la guerre?

Officiellement, bien sûr, il n’y a pas eu de combats en Antarctique.

Aux Etats-Unis il serait difficile de justifier à l’opinion publique et au congrès la mort de millier d’hommes en Antarctique avec de nouvelles opérations. Surtout depuis que la guerre est finie. Aussi le sujet restera clôt. Cette opération est connue sous le nom de "guerre des pingouins", après que le gouvernement indiqua que sur ce territoire il n’y avait que des pingouins et qu’il n’y avait aucun nazis.

Mais le 8 janvier 1956, plusieurs scientifiques chiliens revenant d’une expédition sur le continent observèrent pendant plusieurs heures des objets volants en forme de cigare et de disque dans le ciel de la zone de la mer de Weeddell. La même année 1956, une nouvelle opération militaire sera mise en place par les américains: l’Opération "Deepfreeze". Le résultat sera encore plus catastrophique. Les Américains se contenteront ensuite de missions géographiques et de reconnaissances au pôle sud.

Plus tard, l’Afrique du Sud détectera deux explosions nucléaires dans la zone de Neu-Schbenland, une explosion en surface et une autre qui, d'après les relevés sismiques, semblait souterraine. (D'après des informations, l'explosion en surface eu lieu en fait, à 300 mètres d'altitude. Pour neutraliser les appareils par l'effet de la puissance du champs électro-magnétique de la bombe).

Les débuts de l'ufologie.

En 1946, d'innombrables objets lumineux d'origine inconnue mais fabriqués indéniablement par des intelligences furent observées au-dessus de la Scandinavie et provoquèrent un grand émoi chez les Alliés à l'est comme à l'ouest. N'oublions pas que les deux grandes puissance connaissaient la base de l'Antarctique, et la technologie avancée des nazis. Pour étudier un de ces objets volants qui s'était écrasé en suède, les Etat-Unis envoyèrent le général DOOLITTLE. Comme spécialiste de l'aéronautique, pour examiner les débris.

Ce dernier découvrit-il que les engins étaient en fait des soucoupes volantes nazies ? Est-ce pour prévenir une pareille chose au pôle sud que les Etat-Unis décidèrent d'une intervention conjointe avec les Britaniques et les Soviétiques.

Les Soviétiques ont bien récupéré des soucoupes Allemandes, mais ils ne les auraient jamais testées au dessus de la Suède, un pays européen. Avec leur étendue sibérienne de plusieurs milliers de kilomètres carrés, ils ne manquaient pas de place pour des réaliser des essais en secret. La thèse de l'époque qui prétendait que les Soviétique auraient lancé des fusées V2 pour les tester, ne tient pas. La V2, une fois son carburant épuisé elle tombe et c'est tout. On voit bien ce qui reste au sol. Une fusée expérimentale inerte aurait était tout de suite identifiée. (D'autant plus que de lancer des missiles contre un pays étranger est bien un acte de guerre. Et la V2 est bien un missile intercontinental. Je vois mal les Soviétiques risquer un nouveau conflit, tout juste sorti de la seconde guerre mondiale.)

A partir de la fin des années quarante, des objets volants lumineux furent signalés un peu partout dans le monde, mais surtout au-dessus de l'Amérique du Nord en un nombre sans cesse croissant. Ils étaient pilotés, c'est certain, par des êtres intelligents, ils étaient le plus souvent, ronds, en forme de disque ou de cloche.

La ressemblance incroyable entre les soucoupes "Adamski" et les "Haunebu". Une connexion existe-elle entre les deux ?

Certains auteurs disent que ces ovnis ne ressemblaient pas, en règle générale, aux soucoupes fabriquées par l'Allemagne. Des documents photos prouvent le contraire, et la version Haunebu a été vue, très souvent et dans différents endroits du monde, depuis 1945. De plus, on a pu constater que parmi les cas de contacts avec les occupants d'ovnis, il y a un grand nombre de rencontre avec des êtres conformes à l'idée de la race "aryenne". Des blonds aux yeux bleus et qui, de plus, parlaient couramment l'allemand, ou bien une autre langue mais avec un accent allemand très prononcé. (Comme, par exemple, dans le cas d'Adamski en 1952, le cas de Cedric Allingham en 1954, et celui de Howard Menger en 1956).

Georges ADAMSKI ne fût pas le seul à voir ce genre de soucoupe. Il y eu d'autres témoins, partout sur la planète. Et une preuve de la véracité de la rencontre d'ADAMSKI avec cette soucoupe et ses occupants, mis à part ces photos, c'est le fait que les photos prises par d'autres témoins, ont un objet identique, mais de plus, exactement de la même taille!
Par la technique de la projection orthographique, c'est à dire de projeter par des lignes la structure et le relief de l'engin, en rétablissant son inclinaison. on s'aperçoit que les soucoupes ont une taille absolument identique. Voyez la projection sur la photo ci-dessous:

Il y a aussi l'existence de photos en couleur d'un disque volant qui a atteri avec des occupant d'apparence humaine, pour redecoller aussitôt. Et sur lequel ont pouvait voir deux croix, une "Balkenkreuz" et une croix gammée. Ces photos furent prises dans les années soixante-dix par un veilleur de nuit en RDA.

Alors, est-ce que ce sont des anciens nazis qui "s'amusaient", à apparaitre dans leur soucoupe Haunebu, se faisant passer pour des extra-terrestres? Histoire de narguer les armées de l'air du monde entier. Une manière de dire "attention nous sommes toujours là". Ou alors, les membres de l'expédition de 1938 ont-ils découvert une entrée vers le monde souterrain où, d'après la théorie de la "terre creuse", vivraient une civilisation supérieure à la notre. Cette dernière qui aurait transmise une technologie aux sociétés Vril et Thulé. Qui aurait était le départ de la recherche du troisième Reich?

Comme on le voit, balayer comme beaucoup le font, la "théorie des soucoupes nazies", d'un revers de la main, en disant que "tout ça ne tient pas debout", serait une erreur. Il y a tellement de ramifications liées à ce sujet, que si on prenait la peine d'étudier toutes les pistes à fond, on découvrirait sûrement encore beaucoup de choses.

La majorité des archives secrètes de la SS sont gardées aux Etat-Unis et en Russie. Sans parler des matériaux, de pièces détachées et de soucoupes, récupérées après la guerre.

Scaramouche